[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 20 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (5e partie) PRÉDICATION : LES PRIVILÈGES OU LES PRÉROGATIVES DU PAUVRE ROI DAVID [:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 20 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

 ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (5e partie)

 PRÉDICATION : LES PRIVILÈGES OU LES PRÉROGATIVES DU PAUVRE ROI DAVID

 RÉFÉRENCES BIBLIQUES : 1 SAMUEL 8 : 1-19 ; 10 : 25 ; 1 Samuel 16 : 10- 31 ; Luc 9 : 23 ; Romains 13 : 15

Alléluia !

Restez debout et prenez votre Bible !

Ouvrez avec moi dans 1 Samuel 8 !

Gardez cette page ouverte, pour suivre la brève introduction que je m’en vais faire !

Nous sommes à la suite de ce qui est enseigné tous ces temps derniers, et qui a continué jeudi, 17 février 2022 passé. J’ai promis de revenir sur les privilèges qui étaient dus au roi d’Israël et donc à David. David roi, avait des prérogatives liées à sa royauté, qu’il n’avait mises en avant.

Lorsque son fils Absalom avait entrepris de le chasser du pouvoir, il n’avait pas opposé de résistance parce qu’il était un homme de guerre aguerri. Il ne s’était pas engagé à combattre contre son fils. Il avait compris qu’il s’agissait d’une attaque qui nécessitait de lui un effacement total. Il avait donc ainsi décidé de quitter le palais royal, avant même que son fils n’engage une action aux fins de son expulsion de celui-ci.

C’est après avoir quitté le palais, dans sa fuite, que des gens avaient commencé à l’injurier, à l’exemple de Schimeï notamment qui lui avait lancé les pierres et les paroles de malédiction. David n’avait daigné répliquer à toutes ces provocations et humiliations, bien qu’il fût dans la position et l’autorité de pouvoir tuer SchimeÏ sans avoir de compte à rendre. David roi, n’avait pas usé de ses pouvoirs royaux ! David était réellement un roi pas comme les autres !

Dieu avait donné tous les privilèges au roi ; mais, David ne les avait pas utilisés. C’était parce que ce dernier était un pauvre devant Dieu. Bien qu’étant assis sur le trône royal et jouissant de tous les privilèges dus à son rang, David se voyait toujours comme un pauvre. Celui-ci a régné comme un pauvre sur Israël et a fini comme un pauvre sur Israël. Ce dernier ne voulait en effet pas perdre l’Esprit de Dieu en lui ; car, aussitôt que l’on décide de quitter la mentalité de pauvre, on a en même temps chassé l’Esprit de Dieu de sa vie.

Ceci est la pure vérité que je vous dis. Et ma prière est que mon présent message descende dans vos esprits, afin que vous puissiez demeurer enfants de Dieu ou serviteurs de Dieu, jusqu’à la fin de vos jours sur terre, et pouvoir accomplir ce pourquoi Dieu vous a sauvés.

 

Lisons dans 1 Samuel 8 pour découvrir les privilèges du roi que Dieu avait annoncés au peuple d’Israël lorsque celui-ci réclamait un roi ! Et malgré les privilèges du roi annoncés par Dieu, le peuple d’Israël avait insisté à réclamer un roi.

Lisons l’histoire dans 1 Samuel 8, du verset 1 au verset 19 ; puis lisons aussi le verset 25 de 1 Samuel 10, au nom de Jésus-Christ !

« Lorsque Samuel devint vieux, il établit ses fils juges sur Israël. Son fils premier-né se nommait Joël, et le second Abija ; ils étaient juges à Beer-Schéba. Les fils de Samuel ne marchèrent point sur ses traces ; ils se livraient à la cupidité, recevaient des présents, et violaient la justice.

Tous les anciens d’Israël s’assemblèrent, et vinrent auprès de Samuel à Rama. Ils lui dirent : Voici, tu es vieux, et tes fils ne marchent point sur tes traces ; maintenant, établis sur nous un roi pour nous juger, comme il y en a chez toutes les nations. Samuel vit avec déplaisir qu’ils disaient : Donne-nous un roi pour nous juger. Et Samuel pria l’Éternel. L’Éternel dit à Samuel : Écoute la voix du peuple dans tout ce qu’il te dira ; car ce n’est pas toi qu’ils rejettent, c’est moi qu’ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux. Ils agissent à ton égard comme ils ont toujours agi depuis que je les ai fait monter d’Égypte jusqu’à ce jour ; ils m’ont abandonné, pour servir d’autres dieux. Écoute donc leur voix ; mais donne-leur des avertissements, et fais-leur connaître le droit du roi qui régnera sur eux.

Samuel rapporta toutes les paroles de l’Éternel au peuple qui lui demandait un roi. Il dit : Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, afin qu’ils courent devant son char ; il s’en fera des chefs de mille et des chefs de cinquante, et il les emploiera à labourer ses terres, à récolter ses moissons, à fabriquer ses armes de guerre et l’attirail de ses chars. Il prendra vos filles, pour en faire des parfumeuses, des cuisinières et des boulangères. Il prendra la meilleure partie de vos champs, de vos vignes et de vos oliviers, et la donnera à ses serviteurs. Il prendra la dîme du produit de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses serviteurs. Il prendra vos serviteurs et vos servantes, vos meilleurs bœufs et vos ânes, et s’en servira pour ses travaux. Il prendra la dîme de vos troupeaux, et vous-mêmes serez ses esclaves. Et alors vous crierez contre votre roi que vous vous serez choisi, mais l’Éternel ne vous exaucera point.

Le peuple refusa d’écouter la voix de Samuel. Non ! dirent-ils, mais il y aura un roi sur nous, 

… Samuel fit alors connaître au peuple le droit de la royauté, et il l’écrivit dans un livre, qu’il déposa devant l’Éternel. Puis il renvoya tout le peuple, chacun chez soi. »

Tout porte à croire que nous aborderons ce sous-thème basé sur « la bienveillance au pauvre pour se dégager de l’emprise des esprits familiers », pendant tout ce mois de février 2022. C’est en fait celui qui a son regard sur le pauvre qui ne souffre plus des pressions de ses esprits familiers, parce qu’il fait ce qu’il est appelé à faire sur terre. Le roi David est l’un des exemples patents du pauvre.

J’ai voulu vous montrer aujourd’hui que David était un pauvre exceptionnel en tant que roi. Il était vraiment un pauvre exceptionnel parce que, malgré qu’il disposât des prérogatives dues au roi, il n’en avait pas fait usage, afin de préserver ou de conserver l’Esprit de Dieu en lui. Si celui-ci avait réclamé ou fait usage de ses droits et prérogatives de roi, l’Esprit de Dieu allait inévitablement le quitter. Il s’était comporté différemment de son prédécesseur Saül qui lui, avait réclamé la position de roi et tous les honneurs et la considération dus à son rang. Et c’était à cause de cela qu’il n’avait pas su s’humilier ou se repentir profondément. Il l’avait plutôt fait du bout de ses lèvres.

Son repentir n’était pas vrai. Car, connaissant ses privilèges, il n’avait pas voulu les perdre devant son peuple. Ce ne fut pas le cas avec David. Celui-ci tenait tout le peuple d’Israël entre ses mains et pouvait en faire ce qu’il voulait d’après les droits que Dieu avait définis au titre des prérogatives de roi. Mais, David avait accepté d’être insulté, moqué et maudit par un de ses sujets ; qui lui avait par ailleurs lancé les pierres. Il avait demandé à sa garde de laisser faire Schimeï, ajoutant que, s’il le fait, c’est que, c’est Dieu qui lui a demandé de le faire contre lui. C’est ainsi qu’il avait refusé qu’il fut tué selon la suggestion de sa garde. Il avait refusé qu’il fut mis à mort !

David avait le pouvoir sur tout, d’après les droits réservés au roi définis par Dieu dans le texte ci-dessus, du verset 11 au verset 17. Il est peut-être bon de les relire :

« Il dit : Voici quel sera le droit du roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et il les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, afin qu’ils courent devant son char ; il s’en fera des chefs de mille et des chefs de cinquante, et il les emploiera à labourer ses terres, à récolter ses moissons, à fabriquer ses armes de guerre et l’attirail de ses chars. Il prendra vos filles, pour en faire des parfumeuses, des cuisinières et des boulangères. Il prendra la meilleure partie de vos champs, de vos vignes et de vos oliviers, et la donnera à ses serviteurs. Il prendra la dîme du produit de vos semences et de vos vignes, et la donnera à ses serviteurs. Il prendra vos serviteurs et vos servantes, vos meilleurs bœufs et vos ânes, et s’en servira pour ses travaux. Il prendra la dîme de vos troupeaux, et vous-mêmes serez ses esclaves. »

Ces droits définis par Dieu par Samuel avaient été consignés dans un livre qui avait été déposés devant l’Éternel, selon qu’il est écrit dans 1 Samuel 10, verset 25. David n’ignorait donc pas quels étaient ses droits. Il les connaissait très bien. Ce sont ces privilèges définis par Dieu, que les tyrans de ce monde utilisent aujourd’hui contre leurs peuples respectifs. Nous comprenons pourquoi ils ne peuvent pas avoir l’Esprit de Dieu. Et pourtant certains faux prophètes avaient prétendus dire qu’ils avaient convertis certains présidents africains. Cela était du pur mensonge. Ces faux prophètes avaient prétendu que des présidents comme MEBUTU ou SASSOU NGUESSO par exemple s’étaient convertis. Mensonge ! MEBUTU ni SASSOU ne s’étaient jamais convertis.

Les Présidents africains, pour ne parler de ceux-ci, profitent de tous ces privilèges pour mater leurs peuples. Et lorsqu’ils tentent de se ressaisir pour agir autrement, c’est alors que les occidentaux, leurs maîtres, les appellent les « dictateurs » et s’emploient aussitôt à les remplacer pour installer un autre de leurs pions au pouvoir ! C’est ce qui se passe à l’heure actuelle. Dans tous les gouvernements, il n’y a que des tyrans qui sont au pouvoir. Il est rare de voir des gens au pouvoir de nos jours qui soient comme le roi David. Celui-ci avait un cœur d’homme et un cœur de croyant. Il démontrait dans ses actions qu’il avait la crainte de Dieu. C’est bien pour cette raison que Dieu l’avait appelé « un homme selon son cœur ».

David n’était pas un tyran. La preuve en est qu’il n’avait pas usé des privilèges que lui conférait la royauté. Il n’en avait pas usé. C’était à l’effet de conserver l’Esprit de Dieu dans sa vie. Je vous dis la vérité que, c’est lorsque vous conservez l’esprit d’humilité, l’esprit d’effacement et la mentalité de pauvre, que vous conservez aussi l’Esprit de Dieu en vous. L’Esprit de Dieu ne demeure pas en effet dans les cœurs des orgueilleux, des vantards et des tyrans. L’Esprit de Dieu ne peut pas rester dans ce genre de corps. Il reste dans le corps des gens humbles et effacés, de ceux qui vivent selon la définition du pauvre. Nous avons vu qu’un pauvre est celui-là qui dépend totalement de Dieu ; celui qui sait qu’il n’est rien sans Dieu, qu’il n’a rien sans Dieu et qu’il ne peut rien sans Dieu, indépendamment de sa classe sociale, de ses richesses ou de sa pauvreté matérielle, indépendamment de tout ce qu’il peut avoir ou ne pas avoir. Le pauvre en esprit dépend totalement de Dieu.

C’est à l’image de David qui, ne manquant socialement de rien, ayant tous les privilèges et le pouvoir sur tout, avait décidé de vivre en marge de tout cela, de ne pas en faire usage ou de ne pas en faire réclamation ou appel. Il avait accepté qu’on l’injurie et qu’on lui lance des pierres, sans regimber. Voyez-vous cela ? Nous avons vu jeudi que c’était vraiment l’Esprit de Dieu qui le conduisait. Car, Schimeï qui l’insultait et qu’il aurait pu tuer, était un simple qui avait simplement été emporté par l’effet de masse organisé par des anges déchus. Il ne savait vraiment pas ce qu’il faisait. La preuve en avait été que, lorsqu’il avait vu le roi David restauré, revenir, il était le premier à aller au-devant de lui pour se repentir devant le millier d’hommes qui le suivait. Sincèrement !

J’aimerais que nous voyions maintenant le contre-exemple de Saül dont j’ai fait mention dans mon propos introductif. Saül le premier roi, avait désobéi à Dieu. Celui-ci, lorsque le prophète Samuel était allé vers lui pour lui signifier qu’il ne pouvait plus s’associer à lui parce qu’il avait désobéi à Dieu, ce dernier avait prétendu confesser et se repentir. Mais, sa confession et son repentir n’étaient que du bout des lèvres. Il ne voulait pas dire la vérité et mentait donc. Lisons un peu cela ! C’est dans 1 Samuel au chapitre 16, du verset 10 au verset 31. Nous lisons :

« L’Éternel adressa la parole à Samuel, et lui dit : Je me repens d’avoir établi Saül pour roi, car il se détourne de moi et il n’observe point mes paroles. Samuel fut irrité, et il cria à l’Éternel toute la nuit. Il se leva de bon matin, pour aller au-devant de Saül. Et on vint lui dire : Saül est allé à Carmel, et voici, il s’est érigé un monument ; puis il s’en est retourné, et, passant plus loin, il est descendu à Guilgal. Samuel se rendit auprès de Saül, et Saül lui dit : Sois béni de l’Éternel ! J’ai observé la parole de l’Éternel. Samuel dit : Qu’est-ce donc que ce bêlement de brebis qui parvient à mes oreilles, et ce mugissement de bœufs que j’entends ? Saül répondit : Ils les ont amenés de chez les Amalécites, parce que le peuple a épargné les meilleures brebis et les meilleurs bœufs, afin de les sacrifier à l’Éternel, ton Dieu ; et le reste, nous l’avons dévoué par interdit. Samuel dit à Saül : Arrête, et je te déclarerai ce que l’Éternel m’a dit cette nuit. Et Saül lui dit : Parle !

Samuel dit : Lorsque tu étais petit à tes yeux, n’es-tu pas devenu le chef des tribus d’Israël, et l’Éternel ne t’a-t-il pas oint pour que tu sois roi sur Israël ? L’Éternel t’avait fait partir, en disant : Va, et dévoue par interdit ces pécheurs, les Amalécites ; tu leur feras la guerre jusqu’à ce que tu les aies exterminés. Pourquoi n’as-tu pas écouté la voix de l’Éternel ? pourquoi t’es-tu jeté sur le butin, et as-tu fait ce qui est mal aux yeux de l’Éternel ?

Saül répondit à Samuel : J’ai bien écouté la voix de l’Éternel, et j’ai suivi le chemin par lequel m’envoyait l’Éternel. J’ai amené Agag, roi d’Amalek, et j’ai dévoué par interdit les Amalécites ; mais le peuple a pris sur le butin des brebis et des bœufs, comme prémices de ce qui devait être dévoué, afin de les sacrifier à l’Éternel, ton Dieu, à Guilgal.

Samuel dit : L’Éternel trouve-t-il du plaisir dans les holocaustes et les sacrifices, comme dans l’obéissance à la voix de l’Éternel ? Voici, l’obéissance vaut mieux que les sacrifices, et l’observation de sa parole vaut mieux que la graisse des béliers. Car la désobéissance est aussi coupable que la divination, et la résistance ne l’est pas moins que l’idolâtrie et les théraphim. Puisque tu as rejeté la parole de l’Éternel, il te rejette aussi comme roi.

Alors Saül dit à Samuel : J’ai péché, car j’ai transgressé l’ordre de l’Éternel, et je n’ai pas obéi à tes paroles ; je craignais le peuple, et j’ai écouté sa voix. Maintenant, je te prie, pardonne mon péché, reviens avec moi, et je me prosternerai devant l’Éternel. Samuel dit à Saül : Je ne retournerai point avec toi ; car tu as rejeté la parole de l’Éternel, et l’Éternel te rejette, afin que tu ne sois plus roi sur Israël. Et comme Samuel se tournait pour s’en aller, Saül le saisit par le pan de son manteau, qui se déchira. Samuel lui dit : L’Éternel déchire aujourd’hui de dessus toi la royauté d’Israël, et il la donne à un autre, qui est meilleur que toi. Celui qui est la force d’Israël ne ment point et ne se repent point, car il n’est pas un homme pour se repentir. Saül dit encore : J’ai péché ! Maintenant, je te prie, honore-moi en présence des anciens de mon peuple et en présence d’Israël ; reviens avec moi, et je me prosternerai devant l’Éternel, ton Dieu. Samuel retourna et suivit Saül, et Saül se prosterna devant l’Éternel. »

Voyez-vous comment Saül avait changé de langage plusieurs fois au cours de son entretien avec Samuel ? Tantôt, il dit qu’il a fait comme Dieu a demandé, mais c’est le peuple qui a fait ceci ou cela ; tantôt il dit reconnaître son péché et appelle Samuel pour aller avec lui. Comme Samuel avait décidé de ne plus s’associer à lui, il avait fini par le violenter au point de déchirer son manteau. Il ne supportait pas d’être humilié devant son peuple. Les gens qui ne sont pas pauvres et donc humbles, ne supportent pas l’humiliation. Pour lui, l’acte de Samuel le prophète, pourtant venu pour effectuer des sacrifices, était une humiliation. Il n’entendait donc pas le laisser partir sans les avoir faits devant le peuple ; tout simplement parce qu’il voulait défendre sa tête de roi, son honneur de roi ! C’est cela qui était dans son cœur. Il l’exprime bien au verset 30. Il voulait la gloire et non le déshonneur. Il exigeait que Samuel l’honore en présence de son peuple. Il connaissait bien ses prérogatives en tant que roi, et il ne voulait pas les abandonner. Il ne voulait pas abandonner cette gloire au point de la réclamer devant le prophète de Dieu.

Saül ne voulait pas être regardé comme une personne de rien, comme une personne pauvre, comme quelqu’un sur qui l’on pouvait marcher. Son attitude est tout le contraire de celle de David face à Schemeï que, Abischaï avait qualifié de « chien mort » qui l’insultait pourtant et lui laçait les pierres. David avait accepté d’être humilié par un « chien mort » ! Saül lui, avait exigé que Samuel l’honore d’abord en tant que roi avant de partir ! Voyez-vous la différence entre les deux hommes ? David était véritablement un homme selon le cœur de Dieu.

Mes amis, laissez-moi vous dire la pure vérité ! Pour conserver votre chrétienté jusqu’au bout, vous devez conserver la mentalité du pauvre ; et pour vous occuper des pauvres, c’est-à-dire les aider à être sauvés, vous devez gardez la mentalité du pauvre. Sinon, l’Esprit de Dieu vous quittera et vous perdrez votre salut. Rappelez-vous que la Bible dit bien que « Dieu résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles » (Jacques 4 : 6) ; et que « l’humilité précède la gloire » (Proverbe 15 : 33). Elle nous demande de suivre l’exemple de Jésus lui-même. Mais le roi David de son vivant, ayant vécu avant Jésus-Christ, vivait déjà ce que Jésus devait vivre. Et durant le séjour terrestre de Jésus, celui-ci était passé par tout ce par quoi David était passé. Il avait manifesté le caractère de Jésus en tous points : humilité, effacement et esprit de pauvreté. David avait manifesté tous ces caractères avant que Jésus ne naisse.

C’est cet exemple de Jésus-Christ et donc du roi David que la Bible nous demande de manifester dans notre vie chrétienne. Lorsqu’on parle de Jésus pour dire aux chrétiens de le prendre pour modèle de vie, ils disent que Jésus était Dieu, eux ils ne peuvent vivre comme lui. Le cas de David qui était un homme ordinaire comme vous et moi, nous interpelle et doit constituer notre modèle. Je pourrais aussi citer le cas de l’apôtre Paul qui était un homme ordinaire comme vous et moi. David et lui devraient être des modèles que nous devrions suivre, ne serait-ce que dans les trois points particuliers d’humilité, d’effacement et de pauvreté. Nous devons les garder et les manifester. Nous n’avons donc rien à revendiquer parce que nous sommes enfants de Dieu ; nous n’avons rien à réclamer parce que nous sommes enfants de Dieu, en termes d’honneur, de position ou de rang sociale, de reconnaissance, etc. Nous n’avons rien à réclamer.

Nous n’avons non plus à nous justifier lorsqu’un tort nous est reproché. Nous n’avons pas besoin d’argumenter pour démontrer à tout prix que nous n’avons pas tort. Même lorsque nous avons raison, ou même, lorsqu’il nous est réclamé ce que nous n’avons pas dérobé, nous n’avons pas besoin d’argumenter ou de clamer notre innocence ; nous devons le restituer, mus par la mentalité de pauvre qui nous anime. Lorsqu’on est agi par cette mentalité de pauvre, on est prêt à la confession et au vrai repentir, afin d’éviter d’être une pierre d’achoppement pour les autres pauvres qui attendent d’être sauvés. C’est en fait pour eux que l’on doit se conserver ou se garder, à l’effet d’être utilisé par Dieu pour les sauver. Oh Dieu aide ces gens à comprendre !

Voyez-vous, il n’est pas évident d’accepter d’être abusé, d’être piétiné, d’être humilié, mais c’est à cela que Jésus nous convie, nous chrétiens. Il nous demande de conserver cet esprit humilité et de pauvreté. Cela est bien exprimé dans Philippiens au chapitre 2 que je vous invite à lire avec moi, aux versets 5 à 8 où il est écrit : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. »

Le verset 5 nous demande d’avoir les mêmes sentiments qui étaient en Jésus-Christ. Ce sont ces sentiments qui étaient en Jésus-Christ que j’appelle ici la « mentalité » lorsque je dis de garder la mentalité de pauvre. Cette mentalité permet au chrétien de se savoir dépouiller à l’avance, de savoir qu’il n’est rien et qu’il n’a rien. Une telle mentalité permet de se considérer comme un démuni, comme celui qui manque de tout y compris de protection. C’est une manière de se dépouiller soi-même comme le Seigneur Jésus avait su le faire. Vous savez bien que, lors que ce sont les autres, des tiers qui doivent nous dépouiller ou nous descendre, cela fait très mal. Il fait très mal d’être humilié ou abaissé par les autres. Et, pour que cela ne nous arrive pas, il est bon de faire comme Jésus, c’est-à-dire de nous dépouiller nous-mêmes, nous abaisser nous-mêmes à l’avance, pour éviter le choc de l’être par les autres. Dépouillons-nous, nous-mêmes sans donner l’occasion aux autres de le faire à notre place.

Dépouillez-vous donc avant qu’on ne vous dépouille, humiliez-vous avant qu’on ne vous humilie, descendez de votre hauteur avant que cela ne vous arrive par des tiers, cassez vos talons avant qu’on ne le fasse à votre place ! C’est ce que Jésus avait fait ; et c’est ce que David avait fait. Ils s’étaient humiliés eux-mêmes à l’avance. C’est pour cette raison qu’ils pouvaient se retrouver dans des humiliations, sans que cela les affecte outre mesure. Cela ne leur disait plus rien ! Ils avaient décidé de descendre eux-mêmes, de se faire traîner dans la poussière eux-mêmes, de se laisser humilier eux-mêmes. Lorsque, prenant le cas de David, les autres pouvaient poser des actes d’humiliation contre lui, cela ne lui disait plus rien ; cela était sans effet sur lui.

Pourquoi êtes-vous choqués face aux remarques blessantes ? C’est parce que vous ne vous êtes pas encore abaissés vous-mêmes ; vous ne vous êtes pas encore humiliés vous-mêmes ; vous ne vous êtes pas encore dépouillés vous-mêmes. Et lorsque vous serez face à des situations humiliantes, votre MOI montera en surface pour réclamer l’honneur, la reconnaissance, le respect ou autres. Pour éviter cela, vous devez vous-mêmes vous abaisser, vous humilier et vous dépouiller.

En procédant de la sorte, les autres n’auront plus rien à faire qui vous affecte ou qui vous fasse mal. Lorsque vous vous êtes déjà roulés vous-mêmes à terre, les autres ne peuvent plus vous rouler à terre, et même s’ils le faisaient, cela sera sans objet pour vous. Lorsque vous avez par exemple décidé de jeter quelqu’un dans la boue, je veux dire que vous vous êtes organisés à salir quelqu’un en le roulant dans la boue, et la personne sachant qu’elle a des ennemis qui cherchent à la rouler dans la boue, prends les dispositions pour s’en rouler elle-même dans la boue à l’avance, avant votre arrivée ; lorsque vous arrivez et trouvez que cette personne s’est elle-même déjà couverte de boue, aurez-vous encore à l’enrouler dans la boue ?

Vous serez seulement étonnés de faire le constat que la personne s’est déjà faite à elle-même ce que vous voudriez lui faire. Peut-être aurez-vous seulement à vous demander si la personne est encore normale. Vous ne pourrez plus traîner cette personne dans la boue pour la simple raison que votre action n’aura plus aucun effet escompté sur la cible. Je vous dis que c’est comme cela que ça se passe spirituellement. C’est comme cela que ça doit se passer avec le vrai enfant de Dieu. Il doit se tremper dans la boue à l’avance, de telle sorte que personne ou aucune situation ne puisse à l’avenir le tremper dans la boue. C’est une telle approche, une telle attitude qui vous permettrait de mener votre vie chrétienne à votre aise. Dans le cas contraire, vous vous préservez ou vous recherchez toujours à préserver votre MOI, alors que vous allez toujours vous retrouver devant des situations humiliantes qui vous choqueront. Je vous dis la vérité que, lorsque vous cherchez toujours à vous préserver, vous rencontrerez toujours de l’adversité des gens qui vous tremperont dans la boue. Cela vous choquera évidemment parce que vous ne l’aviez pas fait vous-mêmes à l’avance.

Je veux que vous compreniez ce que je vous enseigne aujourd’hui. C’est un enseignement sur lequel je reviens une nième fois à ce jour, l’enseignement sur l’humilité, l’abaissement, l’effacement et la pauvreté d’esprit. Jésus, tout au long de son ministère, n’avait jamais cessé d’interpeller ceux qui croient en lui de procéder ainsi, de renoncer à eux-mêmes. Jésus avait toujours prêché sur cela ; et il l’avait aussi bien pratiqué. Il s’était dépouillé et humilié lui-même comme cela est écrit dans le texte que nous venons de lire, au verset 8. C’est cette même mentalité du pauvre que vous devez garder. Les idées de grandeur, d’élévation et de positionnement ne doivent plus passer dans votre tête. Ce qui doit passer dans votre tête c’est l’humilité, l’effacement, le renoncement et la pauvreté.

Il est bon que nous lisions quelques derniers passages bibliques avant de passer à la prière. Allons-y lire dans l’évangile de Luc au chapitre 9 ! Lisons le verset 23 où Jésus s’adresse à tous ceux qui auraient l’intention de le suivre. Il leur dit : « Puis il dit à tous : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. » Entendez-vous cela ? Voilà comment Jésus avait toujours eu à prêcher ! Il avait toujours prêché le renoncement à soi que j’appelle ici le dépouillement de soi. Je dis bien qu’il s’adressait à tous ceux-là qui auraient l’intention d’aller après lui c’est-à-dire à devenir ses disciples. Vous qui dites donc que vous êtes chrétiens, vous avez décidé d’aller après lui ou de devenir ses disciples. Pourquoi tenez-vous donc à votre image, à votre notoriété, et à votre personnalité ?

Pourquoi tenez-vous à votre honneur, à votre élévation ? Pourquoi tenez-vous à votre classe sociale ; pourquoi tenez-vous à votre classe sociale ? Je voudrais m’adresser ici à notre chef de l’État, le Président Paul BIYA, et à tous les autres Présidents africains. Pourquoi tenez-vous tant à votre classe sociale, pourquoi y tenez-vous tant ? Comprenez que vous êtes pauvres devant Dieu et humiliez-vous devant lui. Ce n’est pas dans votre chambre que vous devez vous humilier devant Dieu. Votre humilité devant Dieu doit se voir devant les hommes. Et si vous êtes humbles devant Dieu, vous ne ferez pas cas de ce que les hommes peuvent dire de vous.

En ce qui concerne le Président Paul BIYA, il sait que c’est à Jésus qu’il doit donner sa vie. Il le sait. Il sait qu’il doit obéir au Seigneur. Je me suis adressé à lui par une lettre ouverte. Il est donc au courant de tout ce qui a été dit et de ce qu’il doit faire. Il sait qu’il doit se prononcer ouvertement pour Jésus-Christ, pour se repentir. Il doit le faire. Mais, jusqu’à présent, il tient encore à sa personnalité, à son statut de chef d’État.

Voyez-vous, il doit éviter de faire comme le roi Saül qui tenait à son honneur et demandait au prophète Samuel de l’honorer aux yeux de son peuple ; au lieu que ce soit lui qui s’humilie devant Dieu ! Celui-ci voulait absolument défendre son honneur. Non, vous n’avez pas besoin de défendre votre honneur quel que soit votre classe sociale. Car, devant Dieu nous devons nous voir comme des pauvres.

Si nous voulons sauver notre âme, si nous voulons voir notre âme sauvée, nous devons garder la mentalité de pauvre devant Dieu. C’est cette attitude qui nous sauvera et nous maintiendra dans le salut.

Je prie beaucoup pour notre chef de l’État, afin qu’il se convertisse effectivement au Seigneur Jésus-Christ, tout en sachant que la plupart des chefs d’État sinon tous, tiennent à leur honneur. Je lui demande de prendre l’exemple du roi David qui était dans une position similaire, mais qui n’avait pas tenu à son honneur. Celui-ci savait s’humilier devant Dieu et devant les hommes. C’est son modèle que nous devons tous suivre.

Je voudrais terminer mon propos d’aujourd’hui avec cette exhortation de l’apôtre Paul que je vous invite à lire avec moi. Allons-y lire dans Romains au chapitre 13 ! Lisons le verset 15 qui dit clairement ce qui suit : « Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres. N’aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne soyez point sages à vos propres yeux. » La Bible nous demande de nous laisser attirer non par l’élévation, la gloire, les honneurs et les extravagances, mais par l’humilité, la modestie. Voilà l’appel de Dieu ; voilà le caractère du pauvre ! Voilà ce qui peut l’aider à s’occuper des autres pauvres ; car, on ne peut donner que ce que l’on a ; on ne peut donner que ce que l’on a.

Si ce caractère de pauvre s’imprègne en nous, c’est alors que notre évangile et notre témoignage passeront auprès des pauvres. Ceux-là qui sont comme nous étions et comme nous sommes. Nous ne devons en fait pas nous considérer différents des autres pauvres comme cela est enseigné dans le texte de Paul aux Romains où il leur demande d’avoir les mêmes sentiments les uns envers les autres. Nous ne devons pas avoir des sentiments d’élévation pour nous-mêmes, pour les avoir aussi envers les autres pauvres. Mais si nous avons au contraire les sentiments d’abaissement, d’effacement et d’humilité pour nous-mêmes, ce sont aussi les mêmes sentiments que nous devons avoir vis-à-vis des autres pauvres.

Nous devons faire tout et tout pour éviter d’inciter les autres à l’arrogance, à l’élévation, à la gloire et aux honneurs. La seule personne qui mérite la gloire, l’élévation, les honneurs, les acclamations, c’est Dieu, le Dieu Très Haut. Lorsque nous le célébrons pour dire combien il est grand, puissant, glorieux et élevé, nous disons la vérité.

Nous autres, nous ne sommes dès lors rien du tout. Nous devons le savoir aujourd’hui, demain, et éternellement. C’est Dieu qui est tout, nous ne sommes rien. Voilà la clef pour conserver notre foi et aider les autres à être sauvés.

Levez-vous pour prier Dieu !

Amen !

 

 

 

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[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI, 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (3e partie) PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DU ROI DAVID[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI, 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

 ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (3e partie)

 PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DU ROI DAVID

 RÉFÉRENCES BIBLIQUES : PSAUME 69 : 5-7 ; PSAUME 38 : 14-16 ; 2 SAMUEL 16 : 5-11 ; 2 SAMUEL 19 : 16 -23

Alléluia !

Prenez votre Bible et ouvrez avec moi dans le livre des psaumes. Nous relisons le psaume 69. Dimanche passé, je vous ai demandé de lire certains passages bibliques portant sur les exemples concrets que je voulais vous donner sur les caractéristiques d’un pauvre, un pauvre en esprit et un pauvre selon Dieu. J’espère que vous les avez lus.

Oh Seigneur, si tu peux aider ces enfants à comprendre qu’ils doivent garder la mentalité du pauvre, pour conserver leur salut et accomplir ta volonté dans leur vie respective sur cette terre ! Seigneur, s’il te plaît aide-les !

Nous lisons le psaume 69 du verset 5 au verset 7 :

« Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Ceux qui me haïssent sans cause ; Ils sont puissants, ceux qui veulent me perdre, Qui sont à tort mes ennemis. Ce que je n’ai pas dérobé, il faut que je le restitue. O Dieu ! tu connais ma folie, Et mes fautes ne te sont point cachées. Que ceux qui espèrent en toi ne soient pas confus à cause de moi, Seigneur, Éternel des armées ! Que ceux qui te cherchent ne soient pas dans la honte à cause de moi, Dieu d’Israël ! »

 

Nous poursuivons les prolongations du séminaire du mois de février 2022, pour bien définir et baliser les contours du pauvre en esprit. Nous avons entamé les caractéristiques du pauvre dimanche passé. Le pauvre est donc quelqu’un qui ne se justifie pas, qu’il soit en faute ou non ; il est prêt à demander pardon et à se repentir ; il est celui-là qui est prêt à rembourser même ce qu’il ne reconnaît pas avoir pris. Le pauvre est quelqu’un qui est prêt à restituer et restitue effectivement, comme le roi David le dit à la fin du verset 5. Il classe la restitution au rang du devoir lorsqu’il dit : « Ce que je n’ai pas dérobé, il faut que je le restitue. »

David se mettait sous pression de restituer ce qu’il n’avait pas dérobé ! Nous comprenons qu’il adoptait une telle attitude pour éviter que le nom de Dieu ne soit pas insulté et blasphémé. Il le faisait pour défendre le nom de Dieu. Voilà dans quel but il le faisait ! Souvenons-nous que la Bible enseigne que nous, les chrétiens, ne devons pas nous venger. Nous devons tout remettre à Dieu. Le pauvre véritable est celui-là qui a réellement tout remis à Dieu et dépend de lui. Il sait qu’il n’est rien sans Dieu, qu’il n’a rien sans Dieu et qu’il ne peut rien sans Dieu. Il est celui-là qui sait que sa vie est entre les mains de Dieu, et a donc levé les mains en signe d’abandon à Dieu. Il a remis toute son existence à Dieu et, il ne répond pas à tout ce dont il peut faire face au cours de sa vie, pour la cause de Dieu, c’est-à-dire pour sauvegarder l’évangile. En lisant l’apôtre Paul à ce sujet, vous noterez qu’il en parle dans les mêmes termes.

Parlant de David, je vous fais remarquer que celui-ci a été plus prophète que roi. Je crois que dimanche prochain nous reviendrons sur cet aspect. David avait vécu ou avait expérimenté la vie de Jésus à l’avance, c’est-à-dire avant l’avènement de Jésus lui-même sur la terre. La plupart des paroles que David avait adressées à Dieu, avaient été répétées par Jésus pendant son ministère ou pendant son épreuve sur la croix. Dans le psaume 69 que nous étudions, David parle de lui ou de sa vie ; mais en réalité, David relate la vie de Jésus dans ce psaume. Ce que Jésus avait expérimenté, est ce qui est relaté dans ce psaume, et c’est aussi ce que David avait lui-même expérimenté.

Rappelez-vous bien du séminaire où nous avions parlé du rouleau, pour dire que, « dans le rouleau il est question de moi ». Je vous avais fait savoir lors de cet enseignement que, la vie du chrétien, le chrétien que vous êtes, est intimement liée à celle de Jésus. Et ce que ce dernier a eu à faire ou tout ce qu’il avait expérimenté, est ce par quoi nous devons aussi passer. Jésus avait prévu que nous devrions passer par là. Bien que David ait vécu avant Jésus-Christ, celui-ci avait vécu dans son corps, au cours de son règne et dans sa vie en général, ce que Jésus lui-même avait vécu à son époque, pendant son ministère qui n’avait pourtant duré que trois ans environ et les trente ans qu’avait duré sa vie sur la terre. David lui, avait passé plus du double de la vie de Jésus sur terre. Mais, lorsque ce dernier atteignait les soixante-dix ans, il était déjà fatigué, très fatigué. Or à son époque, les gens étaient encore robustes à quatre-vingt-dix ans et plus. Notre chef de l’État vient par exemple de fêter ses 89 ans le 12 février 2022. Celui-ci tient encore bien debout et est solide. L’année prochaine, il aura 90 ans s’il plaît à Dieu. Mais David lui, à 70 ans, était épuisé !

Jésus lui, à 33 ans seulement, il avait déjà fini sa vie sur terre, et il était parti. Je crois que c’était la charge de la mission divine qui reposait sur David qui l’avait fait vieillir si prématurément de la sorte. Et c’est aussi la charge de la mission de Jésus qui avait fait qu’il parte très tôt. Ce que David avait dit dans cette portion de texte au verset 8 était bien son expérience, mais cela était aussi une prophétie du ministère de Jésus. Voici ce qui est écrit à ce sujet :

« Car c’est pour toi que je porte l’opprobre, Que la honte couvre mon visage ; Je suis devenu un étranger pour mes frères, Un inconnu pour les fils de ma mère. Car le zèle de ta maison me dévore, Et les outrages de ceux qui t’insultent tombent sur moi. Je verse des larmes et je jeûne, Et c’est ce qui m’attire l’opprobre ; Je prends un sac pour vêtement, Et je suis l’objet de leurs sarcasmes. Ceux qui sont assis à la porte parlent de moi, Et les buveurs de liqueurs fortes me mettent en chansons. Mais je t’adresse ma prière, ô Éternel ! Que ce soit le temps favorable, ô Dieu, par ta grande bonté ! Réponds-moi, en m’assurant ton secours ! ».

Comme vous le savez, David n’était pas accepté par sa famille charnelle. Ce dernier était pour les autres membres de famille comme un étranger, ils ne le considéraient pas comme un des leurs et se moquaient de lui comme toute autre personne. C’est de même que les frères et sœurs de Jésus et même leur propre mère se moquaient de lui. Je pourrais citer en exemple lorsque David a chanté que « son père et sa mère m’abandonnent, mais l’Éternel me recueillera ». Et pourtant c’est bien lui qui assurait leur garde à ce moment précis. David se mettait toujours dans la peau de Jésus.

 

Vous savez que Jésus avait été abandonné par tous. C’est cela que David exprimait déjà à son époque. C’est cela qu’il voulait dire. Il est bon de faire remarquer que, ce que David avait dit au verset 10 à savoir que « le zèle de ta maison me dévore », cela avait bien été repris lorsque Jésus avait chassé les vendeurs dans le temple (Matthieu 21 : 12). Il était zélé pour les affaires de son Père. Et vous autres, pourquoi êtes-vous zélés ? Certainement pour être situés dans cette vie ! Et vous dites que vous êtes chrétiens, alors que vous n’êtes pas intéressés par les affaires et la maison de votre Père ? Voyez-vous, dans ce texte, ce que David avait écrit et qu’il avait expérimenté dans sa vie, est ce que Jésus devait vivre des centaines d’années après lui. Jésus l’avait vécu et expérimenté ! Figurez-vous que David disait toutes ces choses étant roi. Et que Jésus aussi était né étant considéré comme roi, en nous référant aux déclarations des mages. Ils avaient dit qu’ils avaient vu l’étoile du roi (Matthieu 2 : 2).

Jésus était né étant roi. Et David était roi. Nous comprenons bien que David avait expérimenté ce que Jésus avait expérimenté après lui. Les deux ont été des rois qui avaient gardé la mentalité de pauvre. C’est une telle mentalité que nous devons aussi garder en tant que chrétiens. Comme enfants de Dieu, ne cherchez jamais la prédominante ; ne cherchez jamais à vous faire valoir. Acceptez d’être injuriés, insultés et outragés ! En vous traitant de la sorte, on sera en train d’outrager, d’insulter ou d’injurier Dieu que vous représentez sur terre. C’est ce dont parle David lorsqu’il dit au verset 9 que « les outrages de ceux qui t’insultent tombent sur moi ». Ne perdez pas de vue que le diable, ne pouvant affronter Dieu, s’acharne sur les enfants de Dieu que nous sommes. Si donc vous recherchez d’être honorés, respectés et positionnés dans la société, vous seriez en train de rétrograder en quittant votre place de pauvre, pour accéder à la place de Satan qui est l’élévation, l’orgueil et l’intérêt personnel. Ce sont ces choses qui l’avaient fait chuter du ciel.

Je prie vraiment que Dieu vous aide à comprendre que vous devez garder la mentalité de pauvre en esprit qui est la vraie mentalité des enfants de Dieu, des serviteurs de Dieu qui sont des serviteurs inutiles. Ceux-ci, lorsqu’ils sont injuriés, insultés et outragés, savent que tout cela n’est pas adressé à eux, mais à Dieu leur Père dont ils sont des serviteurs et des représentants. C’est bien pour cela que David pouvait dire au verset 10 que, « les outrages de ceux qui t’insultent tombent sur moi ». Le diable ne peut en fait mieux insulter Dieu qu’en passant sur nous autres chrétiens. Celui-ci ne peut le faire directement à Dieu, parce qu’il croit en lui et il tremble face à lui, selon ce qui est écrit dans la Bible. Il ne peut donc pas affronter Dieu face à face. Jamais ! Jamais ! Le diable croit en lui et il tremble face à lui. Le combat avait eu lieu une seule fois au ciel et le diable avait été précipité. C’était donc fini comme cela pour lui. C’est pourquoi, lorsqu’il veut attaquer Dieu depuis lors, ce sont ses enfants comme vous et moi qu’il attaque.

Étant donné que vous ne savez jamais ce qui est dans l’ombre, ni les dessous d’une attaque ou une provocation, il vaut mieux pour vous de ne jamais rien revendiquer, de ne jamais chercher à vous défendre, pour éviter de tomber dans l’erreur. Nous devons nous comporter comme David dont nous avons apprécié le comportement dans le psaume 38, versets 14 à 16 où il est écrit : « Et moi, je suis comme un sourd, je n’entends pas ; Je suis comme un muet, qui n’ouvre pas la bouche. Je suis comme un homme qui n’entend pas, Et dans la bouche duquel il n’y a point de réplique. Éternel ! C’est en toi que j’espère ; Tu répondras, Seigneur, mon Dieu ! » Voici comment le comportement de David traduit l’attitude d’un vrai pauvre ! Il est sourd et muet même lorsqu’il est insulté ; et il est aveugle lorsque peut qu’on grimacer devant lui. David n’avait pas vu Schimeï qui lançait les cailloux sur lui et n’avait pas non plus entendu ses injures.

C’est comme cela que vous devez être, parce que vous ne savez vraiment pas ce que peut cacher une provocation par exemple. Je profite pour vous redire que les simples sont généralement manipulés par les compliqués. Je veux dire en d’autres termes que les vrais humains sont souvent manipulés par les anges déchus, les réincarnés et les simples sorciers. Ce sont eux qui sont généralement les initiateurs des évènements et autres choses, mais les simples sont pris par les mouvements de masse pour participer à tel évènement ou alors poursuivre ce qui aura été initié par ces derniers. Ils veulent et ne recherchent que la perte de ces simples. C’est bien pour cette raison que les simples doivent se garder de suivre les mouvements de masse, de réagir aux provocations de toute nature et même aux suggestions. Ils ne doivent prêter attention à quoi que ce soit, étant entendu qu’ils sont supposés ne pas fonctionner avec les sens. Ce ne sont pas avec les cinq sens physiologiques qu’un enfant de Dieu doit fonctionner. Celui-ci est supposé fonctionner par l’esprit.

Il est souhaitable à ce niveau que nous repartions dans le texte de dimanche passé, en espérant que vous avez lu la suite. Je parle du texte de 2 Samuel, chapitre 16. Lisons à partir du verset 5 jusqu’au verset 11 :

« David était arrivé jusqu’à Bachurim. Et voici, il sortit de là un homme de la famille et de la maison de Saül, nommé Schimeï, fils de Guéra. Il s’avança en prononçant des malédictions, et il jeta des pierres à David et à tous les serviteurs du roi David, tandis que tout le peuple et tous les hommes vaillants étaient à la droite et à la gauche du roi.

Schimeï parlait ainsi en le maudissant : Va-t’en, va-t’en, homme de sang, méchant homme ! L’Éternel fait retomber sur toi tout le sang de la maison de Saül, dont tu occupais le trône, et l’Éternel a livré le royaume entre les mains d’Absalom, ton fils ; et te voilà malheureux comme tu le mérites, car tu es un homme de sang !

Alors Abischaï, fils de Tseruja, dit au roi : Pourquoi ce chien mort maudit-il le roi mon seigneur ? Laisse-moi, je te prie, aller lui couper la tête. Mais le roi dit : Qu’ai-je affaire avec vous, fils de Tseruja ? S’il maudit, c’est que l’Éternel lui a dit : Maudis David ! Qui donc lui dira : Pourquoi agis-tu ainsi ? Et David dit à Abischaï et à tous ses serviteurs : Voici, mon fils, qui est sorti de mes entrailles, en veut à ma vie ; à plus forte raison ce Benjamite ! Laissez-le, et qu’il maudisse, car l’Éternel le lui a dit. »

Voyez-vous, malgré la demande des gardes à obtenir l’autorisation de couper la tête à celui qui l’insultait, David ne leur avait pas répondu favorablement. Abischaï ne supportait pas que le roi soit insulté, et demandait à aller couper la tête à Schimeï qui lui lançait les pierres et prononçait les malédictions contre lui. Il suffisait d’un ordre de David pour que cet ennemi soit tué. Ceci paraissait d’ailleurs très normal ou logique étant donné qu’il s’agissait d’un outrage à roi. David n’avait pas accédé à la demande de sa garde. Il avait ainsi démontré qu’il était un pauvre, sans oreilles pour entendre et sans bouche pour répliquer. Il avait tout laissé à Dieu qui a dit : « à moi la vengeance, à moi la rétribution » (Deutéronome 32 : 35). Le pauvre se remet à lui sans se venger, il subit tout : les outrages, les moqueries, les injures, et même la mort s’il le faut, au nom de son Dieu.

David était le vrai pauvre en esprit, le genre de pauvre qui peut aider les autres pauvres à reconnaître leur créateur, le vrai Dieu qui a envoyé son Fils Jésus-Christ pour le rachat des pauvres. Vous devez avoir une telle mentalité. C’est cela qui vous préservera des esprits familiers que vous fuyiez avant de venir vous réfugier au Tabernacle de la Liberté. Si vous voulez échapper aux esprits familiers, vous devez avoir cette attitude de pauvre. Je vais toutefois vous prier de ne pas être dans logique de la fuite des esprits familiers, d’obtenir la guérison ou alors de recevoir une quelconque délivrance. Il s’agit de nouer une réelle relation avec votre Dieu, histoire de revenir à votre Dieu et de pouvoir accomplir le but pour lequel il vous a fait venir sur cette terre et vous a sauvés.

Si vous êtes de simples humains, qui mourez après avoir écouté le présent message, et qui ne vous êtes pas engagés à le mettre en pratique, vous aurez vraiment gâché votre vie. Le mieux aurait valu ne pas naître, que de naître et ne pas accomplir le but pour lequel Dieu vous a créés et sauvés. Vous devez le comprendre aujourd’hui que, si vous qui êtes devant moi, vous avez été créés par Dieu, c’est pour que vous puissiez sauver ceux qui sont comme vous étiez avant votre salut. Vous devez en conséquence tout faire pour arriver à cette fin, en gardant la mentalité de pauvre, la mentalité de celui qui ne compte que sur Dieu, qui ne voit que Dieu ; celui qui sait qu’il n’est rien et n’a rien sans Dieu ; qui ne peut aller nulle part sans Dieu. Vous devez conserver cette mentalité de pauvreté et divulguer ce message autour de vous, par ce qu’il y en a dehors plusieurs qui sont comme vous étiez. Si vous perdez cet esprit, vous aurez perdu la vision de là où Dieu vous conduit.

Dans le cas de l’attitude de David dans le texte que nous venons de lire, nous découvrons que David avait raison de ne pas autoriser que Abischaï aille couper la tête à Schimeï. Ce dernier, je parle de Schimeï, il était un simple qui avait simplement été entraîné par le mouvement de foule contre David. David avait beaucoup d’ennemis que Schimeï avait suivi dans la mêlée. David avait su comprendre que ce n’était pas à lui, de lui répondre. Il avait vraiment le Saint-Esprit de Dieu. Cet homme de David m’impressionne. Il m’a toujours impressionné et il continue de m’impressionner. Il avait dit à Abischaï de laisser Schimeï tranquille, car s’il l’injurie, c’est que Dieu lui a dit de l’injurier. Il avait donc tout accepté de ce qui lui venait de ce dernier. Il avait dit un amen à ses injures et à ses malédictions.

Regardez aussi, lorsque l’armée de David avait combattu contre celle d’Absalom. Vous verrez que parmi les ennemis de David, il y avait Achitophel qui était le conseiller le plus réputé dans le royaume de David. Lorsque David avait su que Achitophel avait suivi la rébellion d’Absalom, il savait que cet homme parlait juste et que ses conseils étaient précieux pour le camp de son fils Absalom. David s’était adressé à Dieu pour lui demander de réduire à néant son conseil, et Dieu avait écouté sa prière. Eh Dieu, que tu es bon ! Dieu écoute la prière du pauvre. Êtes-vous pauvres ? Je ne parle pas de la pauvreté matérielle nécessairement, je parle de la pauvreté en esprit. Êtes-vous pauvres selon la définition que nous avons donnée au pauvre pendant le séminaire ? Si c’est le cas, comprenez que Dieu écoute votre prière, comme il avait écouté celle de David.

Achitophel avait donné le conseil qui n’avait pas été suivi et finalement, l’armée de David l’avait emporté sur celle d’Absalom son fils. Et au cours de cette guerre, David avait même donné conseil qu’on ne tue pas le jeune Absalom, malgré qu’il fût tué à cause de Joab qui était plutôt un zélote, un extrémiste, qui avait fait que le garçon soit tué. Après cette bataille contre l’armée d’Absalom, David devait rentrer à Jérusalem prendre son trône. Cette portion de l’histoire est rapportée au chapitre 19 de 2 Samuel que je vous ai demandé de lire. Lisons à partir du verset 16 au verset 23 :

« Schimeï, fils de Guéra, Benjamite, qui était de Bachurim, se hâta de descendre avec ceux de Juda à la rencontre du roi David. Il avait avec lui mille hommes de Benjamin, et Tsiba, serviteur de la maison de Saül, et les quinze fils et les vingt serviteurs de Tsiba. Ils passèrent le Jourdain à la vue du roi.

Le bateau, mis à la disposition du roi, faisait la traversée pour transporter sa maison ; et au moment où le roi allait passer le Jourdain, Schimeï, fils de Guéra, se prosterna devant lui. Et il dit au roi : Que mon seigneur ne tienne pas compte de mon iniquité, qu’il oublie que ton serviteur l’a offensé le jour où le roi mon seigneur sortait de Jérusalem, et que le roi n’y ait point égard ! Car ton serviteur reconnaît qu’il a péché. Et voici, je viens aujourd’hui le premier de toute la maison de Joseph à la rencontre du roi mon seigneur. Alors Abischaï, fils de Tseruja, prit la parole et dit : Schimeï ne doit-il pas mourir pour avoir maudit l’oint de l’Eternel ? Mais David dit : Qu’ai-je affaire avec vous, fils de Tseruja, et pourquoi vous montrez-vous aujourd’hui mes adversaires ? Aujourd’hui ferait-on mourir un homme en Israël ? Ne sais-je donc pas que je règne aujourd’hui sur Israël ? Et le roi dit à Schimeï : Tu ne mourras point ! Et le roi le lui jura. »

Comme je l’ai déjà mentionné plus haut, nous comprenons ici que David avait raison de ne pas se venger contre Abischaï. C’est pourquoi je vous dis que vous devez être animé de l’esprit de non vengeance, de non justification et du repentir authentique. Schimeï était allé à la rencontre de David alors que celui-ci se dirigeait vers Jérusalem. Et le texte nous fait découvrir que Schimeï n’était pas n’importe qui dans le royaume, il avait un peuple derrière lui. Seigneur tu es bon. Accorde-moi la grâce de conserver l’esprit de pauvreté et de toujours garder ma bouche fermée. Permets-moi de toujours fermer mes yeux et de ne pas toujours me précipiter dans le jugement ou dans la condamnation. Accorde-moi cette grâce Seigneur !

Au terme de cette lecture, pouvez-vous dire gloire à Dieu ! Pouvez-vous dire Alléluia ! L’Esprit de Dieu a bien conduit David au point où, Schimeï qui l’avait insulté, injurié et maudit, était allé se repentir en se prosternant devant lui. Quelqu’un qui, quelques jours auparavant avait lancé les pierres sur lui ! Nous confirmons que ce dernier avait été manipulé par l’opinion publique ou par l’effet de masse. Il était un simple qui ne savait pas ce qu’il faisait. Et nous comprenons mieux la prière que Jésus avait faite sur la croix en disant : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23 : 34). Schimeï avait insulté le roi David, et sa garde avait voulu le tuer, mais David leur avait dit de ne point le tuer. L’agresseur du roi était promptement revenu vers David pour se repentir aussitôt que sa royauté avait été restaurée. Je viens de relever qu’il avait une grande foule derrière lui ! Supposez qu’il fut mis à mort, qu’allait faire ces milliers de personnes derrière lui et qui devaient considérer le roi comme un criminel et se vouer à la perdition ?

Voyez-vous comment des milliers de personnes devaient prendre le roi David comme un criminel à cause des injures qu’il avait reçues de Schimeï leur chef ? Le roi avait fait comme s’il n’avait rien entendu ni vu. Et lorsque celui était allé se repentir auprès du roi David, Abischaï était encore revenu à la charge pour suggérer à David, qu’il soit mis à mort. Le roi lui avait promptement dit qu’il n’ignore pas qu’il est roi, avant de lui signifier que Schimeï ne mourra pas, qu’il ne sera pas mis à mort. Savez-vous qui vous êtes ? Savez-vous que vous êtes enfants de Dieu ? Si vous le savez, qu’est-ce que cela peut vous dire que l’on vous injurie ou que l’on rendre de faux témoignages à votre sujet ? Et qu’est-ce que cela doit vous faire d’être appelés par tous les noms d’oiseaux ? Qu’est-ce que cela doit-il vous dire ? Qu’est-ce que cela vous ferait-il de restituer ce que vous n’avez pas pris ou de demander pardon alors que vous n’avez pas tort ? Qu’est-ce que cela vous enlèverait-il si vous connaissez votre nature ? Qu’est-ce que cela vous enlèvera-t-il si vous savez que vous êtes enfants de Dieu ? Qu’est-ce que cela vous enlèvera-t-il de vous humilier ? Qu’est-ce-que cela vous coûtera-t-il ?

Qu’est-ce que cela vous apportera-t-il de revendiquer à tout prix votre innocence ? Pourquoi réclamerez-vous à tout prix la reconnaissance de votre classe sociale ? Pourquoi tiendrez-vous à faire connaître qui vous êtes ? Ce ne sont pas les autres qui doivent savoir qui vous êtes ; c’est vous-mêmes d’abord qui devez le savoir. Et lorsque vous le savez, vous ne vous embarrasserez pas de ce que vous allez entendre ou de ce que vous verrez autour de vous en termes de voix et de faits et gestes. Écoutez la réplique de David au verset 22 : « Mais David dit : Qu’ai-je affaire avec vous, fils de Tseruja, et pourquoi vous montrez-vous aujourd’hui mes adversaires ? Aujourd’hui ferait-on mourir un homme en Israël ? Ne sais-je donc pas que je règne aujourd’hui sur Israël ? Et le roi dit à Schimeï : Tu ne mourras point ! Et le roi le lui jura. »

Il y a lieu de relever que les pauvres ont toujours eu à leurs côtés des gens comme Abischaï, des gens prompts à les pousser à la vengeance, à la réplique ou plus globalement à l’action. Ceci est une réalité qui se vit partout où un quelconque pouvoir est exercé y compris dans les foyers. Dans les foyers, beaucoup de femmes jouent ce rôle d’Abischaï. Beaucoup de femmes jouent ce rôle auprès de leurs maris, pour les pousser à des actions qui ne sont pas bien. Elles ont des paroles à la bouche du genre : n’es-tu as un homme ; tu ne fais rien face à tel qui marche sur toi ; ne te venges-tu pas aussi, etc. ? Je vous dis la pure vérité que ce que je relève ici se vit dans les ménages, cela se vit dans les ménages.

S’il vous plaît, si vous reconnaissez que vous êtes pauvres, n’écoutez pas les gens qui vous poussent dans les bêtises. N’écoutez pas les Abischaï autour de vous ; ne les écoutez pas ! Ils sont nombreux, prenez-en donc garde et fermez vos yeux et vos oreilles à tout ce qu’ils peuvent vous dire ou à tout ce qu’ils peuvent vous montrer. Comprenez-vous cela ? Lorsque vous les avez identifiés, vous devez les reprendre sans état d’âme, vous devez les repousser et rejeter leurs suggestions avec fermeté. Vous devez rester fermes, fermes. Dans le cas de David, il avait compris que Absichaï était devenu son ennemi et il le lui avait dit comme ci-dessus. Il lui avait clairement demandé s’il croît que lui, David, ignorait sa position dans le royaume. C’était une manière pour lui de lui dire que, ce n’est pas à lui, de lui rappeler sa fonction ou son autorité sur le peuple d’Israël.

Le roi, à cette époque-là et même à notre époque-ci, était quelqu’un qui exerçait le droit de grâce. Dans notre contexte, les Présidents exercent bien ce pouvoir discrétionnaire. David pouvait gracier un condamner. On pourrait même dire qu’à leur époque, ils avaient le droit de vie ou de mort sur leurs sujets. En tout cas, ce sont eux qui décidaient en dernier ressort de mort ou de vie de leurs sujets. David s’était obligé à rappeler à son collaborateur qu’il n’ignore pas sa position, son pouvoir ou son autorité dans la royauté, une manière de lui signifier qu’il n’avait pas besoin de le pousser à agir. Et je vous dis que, par cette expérience de David et Abischaï, les pauvres ont toujours eu des Abischaï autour d’eux. Abischaï s’était comporté de la même manière auprès de David, à l’arrivée comme au retour. Par deux fois, il revenait à la charge pour dire au roi, coupe-lui la tête parce qu’il t’a insulté. Mais le roi savait bien qui il était.

David savait que couper la tête à Schimeï n’était pas la solution. Il avait compris que celui-ci était un simple qui avait besoin de salut. Et en parcourant bien le livre des psaumes, on note bien que le roi priait toujours Dieu pour ne pas être une occasion de chute pour les autres, une entrave au salut des autres. Et dans le psaume 38, il avait dit qu’il est un sourd, un muet et un aveugle, c’est-à-dire qu’il n’entend pas, ne parle pas et ne voit pas. C’était une manière de dire que c’est Dieu qui devait prendre toute décision le concernant.

Chrétiens, connaissez-vous votre nature ? Connaissez-vous qui vous êtes en tant qu’enfants de Dieu ? Ce qui vous a été enseigné dans les autres milieux par le passé, à savoir que, parce que vous êtes enfants de Dieu, n’importe qui ne doit vous parler n’importe comment, est un faux enseignement. Vous devez rejeter tous ces faux enseignements qui vous ont été donnés par les Abischaï. Ce sont eux qui vous apprennent à revendiquer la reconnaissance et le positionnement social, parce que vous êtes enfants de Dieu. Ils vous enseignent que vous méritez d’avoir tous les privilèges et tous les droits. Cela est faux comme enseignement.

Si vous savez que vous êtes enfants de Dieu, vous n’ignorez pas qui vous êtes, au point de vous lancer dans des extravagances à cause de ce que vous aurez entendu ou vu des autres. À cause des Abischaï autour de vous, vous vous lancerez dans des actes qui vous exposeront à la perte de l’Esprit de Dieu en vous. Lorsque vous décidez de vous élever en tant qu’enfants de Dieu, de vouloir vous positionner, ou de vouloir faire savoir qui vous êtes en termes de position sociale ou spirituelle, chers amis, vous avez décidé de rétrograder.  Je vous dis la pure vérité que, vous avez décidé de rétrograder.

Comprenez aujourd’hui que vous êtes pauvres quelque soit votre classe sociale ; et que ce n’est pas un tiers qui doit vous le rappeler. Vous savez qui vous êtes et devez savoir comment vous devez agir. À l’exemple de David, vous devez par ailleurs éviter de juger avec précipitation. C’est cette attitude de David qui avait permis que Schimeï revienne à de meilleurs sentiments vis-à-vis de lui, au point de se repentir.

Par sa repentance, il avait entraîné des milliers de personnes dans la suite de David. Vous comprenez donc que le salut d’une seule personne peut entraîner celui d’une multitude de personnes. Sachons nous laisser conduire par l’Esprit de Dieu et soyons attentifs à lui, tout en gardant les yeux, les oreilles et la bouche fermés sur tout ce qui peut s’agiter autour de nous, en nous attendant au Seigneur.

Nous sommes pauvres et c’est Dieu qui répond pour nous. Notre action ne doit avoir lieu que pour sauver les pauvres qui sont comme nous étions avant notre délivrance et notre salut. C’est notre mission : s’occuper du pauvre.

Levez-vous sur vos deux pieds pour prier Dieu !

Amen !

 

 

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : NIGÉRIA – L’ESPRIT DE MORT EST BRISÉ ET ÔTÉ DE LA SYNAGOGUE ÉGLISE DE TOUTES LES NATIONS DU DÉFUNT TB JOSHUA  [:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

À cause de la perdition qui y prévaut désormais, l’Éternel Dieu révèle que la Synagogue Église de toutes les Nations du défunt TB Joshua est devenue une porte d’embarquement des âmes pour l’enfer. L’Éternel Dieu a ainsi saisi l’esprit mort qui y a élu domicile. Parlant dans le corps d’un jeune homme, cet esprit a confessé qu’Evelyn Joshua, veuve du prophète TB Joshua, est la principale source de distribution de l’égarement et de la perdition.

Au nom de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé cet esprit de mort en enfer.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN- LES ÉPOUSES DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT S’ASSOCIENT LES ESPRITS DES EAUX ET CONSULTENT LES MARABOUTS, AFIN D’ASSURER LA PROMOTION ET L’IMPUNITÉ À LEURS ÉPOUX[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Pendant le service de jour, l’Éternel Dieu a intercepté les esprits des eaux. Ceux-ci ont confessé qu’ils sont invoqués par les épouses des membres du gouvernement, qui consultent les marabouts et se livrent à des bains rituels et occultes, espérant par là effacer toutes traces des mauvaises de leurs époux. Évidemment, de telles pratiques visent à assurer aux ministres une impunité maléfique, ce d’autant plus que les procès pour détournements des fonds publics sont en cours, et que le remaniement ministériel est attendu.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ces esprits des eaux en enfer, ainsi que leurs compagnons, les démons suppôts des marabouts. Après quoi, le révérend a ordonné que toutes les mauvaises œuvres des ministres soient exposées, afin qu’aucun ne reste impuni.

Amen[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – ANÉANTISSEMENT DES ESPRITS D’ACCIDENTS INVOQUÉS PAR LE MINISTRE DES TRANSPORTS JEAN ERNEST MASSENA NGALLE BIBEHE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Rendons grâce à l’Éternel Dieu, qui a intercepté et neutralisé un contingent d’esprits chargés d’occasionner les accidents sur les axes routiers du Cameroun. S’exprimant dans le corps d’un jeune homme, ces esprits ont déclaré qu’ils ont été invoqués Jean Ernest MASSENA NGALLE BIBEHE, Ministre des Transports.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA les a décapités et refoulés dans les abîmes. Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LA FRANCE VEUT INFILTRER DES MERCENAIRES AU MALI, AFIN DE FAIRE CROIRE À LA REMONTÉE EN PUISSANCE DU TERRORISME[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Les troupes françaises sont indésirables par la population et les autorités, en sorte que leur retrait du Mali est devenu inévitable. Cependant, pour faire croire que sa présence était nécessaire et utile à la lutte contre le terrorisme, le Président français Emmanuel MACRON a opté de recruter des mercenaires venant du Bénin, du Tchad, du Niger, de la Côte d’Ivoire, du Rwanda, et de la République démocratique du Congo, afin de les infiltrer massivement au Mali.

Les esprits malfaisants incarnant ces mercenaires ont été saisis dans le corps d’une jeune dame, et le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA les a refoulés en enfer, brisant ainsi le plan de déstabilisation conçu par Emmanuel MACRON contre le Mali.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – L’ESPRIT SYMBOLE DU CARACTÈRE ANIMAL DÉVOILE SES MANIFESTATIONS CHEZ LE CROYANT[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

 À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, lequel invitait chaque croyant à s’inspirer du cas de David et à développer la mentalité du pauvre en esprit, l’Éternel Dieu a saisi un démon incarnant le comportement contraire à celui du pauvre en esprit, et portant le nom de « Caractère animal ».

Ce démon a affirmé qu’il affecte, habite et anime les croyants qui aiment se justifier, au lieu de s’humilier, de se repentir et de s’effacer. Il s’agit donc des personnes qui veulent toujours ou souvent se blanchir, sauvegarder leur « moi », prouver à tout prix qu’elles ne sont pas en tort. Or, comme on le voit avec le cas de David, afin que le nom de Dieu ne soit pas blasphémé, le pauvre en Esprit s’humilie et ne répond pas aux attaques, aux calomnies et aux fausses accusations qu’on lui fait subir

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a mis le démon du Caractère animal en cage, car si Dieu le veut, il interpellera les fidèles au prochain culte.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LE CAMEROUN EST ÉPARGNÉ DE MULTIPLES VAGUES DE FAMINE ET DE SÉCHERESSE PRÉPARÉES PAR LES CINQ MEMBRES DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Nous rendons grâce à l’Éternel Dieu, qui n’a pas permis que le Cameroun tombe et succombe du fait de la sécheresse et de la famine planifiées à son encontre par les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, c’est-à-dire les États-Unis, la Chine, la Russie, la France et l’Angleterre. Trois vagues de démons incarnant ces calamités ont été saisis dans des corps de jeunes gens, et chaque fois, le révérend pasteur le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA les a décapités et chassés en enfer.

L’un de leur porte-parole a avoué que le but de pareilles attaques est de rendre les populations aigries et de les soulever contre le Président Paul BIYA, vu qu’il résiste et s’oppose sagement au néocolonialisme occidental promu par les membres du Conseil de Sécurité.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : SOMMET 2022 UNION EUROPÉENNE ET UNION AFRICAINE – ANÉANTISSEMENT DES FLÉAUX, DES MAUX ET DES CALAMITÉS PRÉPARÉS LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX CONTRE L’AFRIQUE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Le Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union Européenne et de l’Union Africaine se tient ce 17 février, et demain 18 février 2022 à Bruxelles, capitale de l’Europe. L’Éternel Dieu révèle qu’à l’occasion de ce Sommet, les Occidentaux ont résolu de secouer l’Afrique, en y provocant la famine, la misère, les divisions, les viols et les soulèvements.

Portant le nom générique de « Cargaison enférique », les démons chargés de concrétiser ces différents fléaux ont été décapités et chassés en enfer par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LES PAYS MEMBRES DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU ET LES PUISSANCES OCCIDENTALES SONT FRAPPÉS DE DISLOCATION PAR DIEU, EN VUE DE LA LIBÉRATION ET DE L’ÉMERGENCE DE L’AFRIQUE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 17 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (4e partie)

Au regard de l’échec de leur ultime tentative de domination du monde via le Coronaviru et son programme vaccinal, les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU et leurs auxiliaires sont désormais divisés, fragilisés. L’épreuve de la réalité les rattrape, et la dure loi du « sauve qui peut » est en train de briser leur union maléfique traditionnelle.

Cette tournure des évènements a été dévoilée ce jour par l’esprit incarnant les clauses du Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union Européenne et de l’Union Africaine, Sommet qui se tient ce 17, et demain 18 février 2022 à Bruxelles, capitale de l’Europe. Cet esprit a expliqué que les buts orientant l’agenda caché du Coronavirus n’ont pas été atteints, notamment en matière de vaccination, de reconquête, de partage et de pillage de l’Afrique, principalement du Cameroun. Les grandes puissances du G5 (États-Unis, Chine, Russie, France, Angleterre) et leurs alliés ont été tenus en échec par Dieu, et elles n’ont pas pu rentabiliser les colossaux investissements consentis pour la préparation et l’implémentation du mensonge du Coronavirus.

L’échec est tel que toutes les grandes puissances occidentales et leurs alliés respectifs ont faim, et chacun cherche de quoi manger, en sorte que leur dislocation est irrémédiable et irréversible. Cherchant chacun de quoi manger, ces puissances sont donc obligées de se tourner vers l’Afrique, la seule réserve mondiale. Il n’est donc pas par exemple étonnant que la Serbie, allié traditionnel et vassal de la Russie, opte désormais de nouer des contacts et des partenariats directs avec le Cameroun, comme en témoigne la récente visite de son Ministre des Affaires étrangères Nikola SELAKOVIC, lequel a été reçu le lundi 14 février 2022 par le Premier ministre Joseph DION NGUTE, puis par d’autres membres du gouvernement, comme le Ministre de l’Agriculture et du Développement rural, le ministre des Postes et Télécommunications, le Ministre de la Défense, le Ministre des relations extérieures.

À cause de cette dislocation provoquée par l’Éternel Dieu au sein des membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a souligné qu’à l’avenir, on ne devrait pas être étonnés de voir toutes sortes pays étrangers et de petits États insoupçonnés venir négocier directement avec les États africains. En cela, l’esprit incarnant les clauses du Sommet Union Européenne/ Union africaine a indiqué que les pays africains doivent être sages, et saisir cette occasion pour leur émergence et leur boom économique, en signant des partenariats bénéfiques, en bonne et due forme, des partenariats propices à leur développement, et différents des contrats de dupe, des contrats néocoloniaux autrefois signés avec l’Europe, l’Amérique ou l’Asie.

Au terme de tous ces aveux, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a ordonné à l’esprit de Dislocation d’aller, et de poursuivre son œuvre de division au milieu des pays membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, et leurs différents alliés.

Merci Jésus. Merci pour cette dislocation favorable au réveil de l’Afrique.[:]