SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)
À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de GALATES 5 : 16-17, GENÈSE 28 : 6-7, 2 CHRONIQUES 20 : 20, le Seigneur a saisi plusieurs esprits impurs, à l’effet de libérer les fidèles de leur emprise. Saisis en second lieu, ou du moins en même temps que les esprits de religion et de rébellion, les démons personnifiant la chair et ses désirs ont affirmé ce qui suit, parlant dans le corps d’une jeune dame et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :
« Nous sommes la ‘‘Chair et ses désirs’’. Les religieux aiment jurer en traçant le sol du doigt. Quand ils font leur soi-disant baptême, ils accrochent la croix au cou, soi-disant que c’est ce qui les protège, et sans savoir qu’ils se placent sous la malédiction. Nous nous appelons ‘‘la chair et ses désirs’’. Dans sa parole (la Bible), votre Type (Jésus-Christ) dit ce qui est bien, mais nous, la ‘‘chair et ses désirs’’, nous venons enseigner et montrer l’inverse ou le contraire à l’être humain. Par exemple, votre Type (Jésus-Christ) vous dit de porter les chaussures comme cela est bien, c’est-dire en mettant le pied gauche dans la chaussure gauche, et le pied droit dans la chaussure de droite. Mais nous, ‘‘la chair et ses désirs’’, nous renversons et nous disons de mettre plutôt le pied droit dans la chaussure de gauche, et le pied gauche dans la chaussure de droite. On fait savoir à l’humain que c’est bien, quand il renverse la manière de porter les chaussures. C’est comme cela que la chair et ses désirs s’opposent à votre Type (Jésus-Christ), tout cela c’est la rébellion. Votre Type (Jésus-Christ) te dit de marcher sur le droit chemin, ce chemin est bien. Mais la chair te dit que ce n’est pas bien ; la chair te dit que c’est ce qui se passe dans le monde qui est bien. C’est ainsi qu’étaient Ésaü avec toute sa descendance (ils marchaient selon la chair, non selon les instructions, la parole de Dieu).
« À travers ses désirs mondains, la chair va te dire : ‘‘Ne vois-tu pas comment il est plus jolie de porter les chaussures en inversant les pieds ? C’est comme cela que les autres portent là-bas dehors’’. C’est de la même manière que font tous ceux qui entendent la parole (l’évangile de Christ) avec les oreilles de la ‘‘chair et ses désirs’’. Ils font les choses à l’envers, et ils se donnent raison en disant que c’est comme cela que tout le monde fait dehors. Quelqu’un dira donc : ‘‘Si je vois les gens marcher dehors sans caleçon, moi aussi je marche sans caleçon. Si je vois les gens mettre les greffes qui arrivent aux fesses, moi aussi je mets de telles greffes. Si les gens se décapent, moi aussi je le fais’’. Parfois, quand il suit la chair et ses désirs, le cœur de celui qui est humain lui dit de laisser. Parfois il laisse, mais la chair lui dit : ‘‘Regarde comment tu es devenue’’, et la personne retombe… Tu as dit ta vérité (s’adressant ici à papa Olivier), en affirmant que que tu te bats à appliquer la Bible… Quand ils veulent désobéir, la rébellion et l’indépendance montent en surface, puis ils disent que les choses évoluent, qu’il ne faut pas suivre la Bible bêtement.
« La patronne de la fille en qui je suis (sœur Eugénie KAMANA) lui a dit réfléchir un peu avec sa tête, de ne pas s’aligner à tout ce que lui dit le pasteur. ‘‘ Utilise ton cerveau pour réfléchir, au lieu de t’aligner à tout ce que dit le pasteur. Là où nous sommes, là, nous sommes les êtres humains, et tout le monde pèche. Même ton pasteur-là pêche. Tu es un être humain, ne te focalise pas sur ce que dit ton pasteur ; nous sommes dans le monde. Comme vous dites que vous ne buvez pas l’alcool, on t’envoie d’en acheter, tu refuses, tu dis que tu ne peux pas toucher la bouteille (de bière) ou entrer dans le bar. Or, même Jésus a transformé l’eau en vin. Ce que la Bible dit, c’est qu’on ne doit pas exagérer dans tout ce qu’on fait. Ma fille, lis ta bible, utilise ton cerveau’’, lui a dit sa patronne. Elle part, elle s’assoit aussi, elle dit… D’ailleurs, le ‘‘Dossier’’ qui la concerne est derrière… Tu as commencé quand même à toucher le ‘‘Dossier’’ en question (parlant des esprits qui affectent la vie d’Eugénie et l’empêchent de vivre la vie chrétienne normale), parce que le gourdin que tu as dosé a fait quelque chose. Nous, la chair et ses désirs, quand nous sommes sortis et que nous nous sommes manifestés aujourd’hui, nous portions les chaussures à l’envers, comme tu le vois maintenant ».
Par la suite, le Seigneur a exposé les esprits relatifs au ‘‘Dossier’’ de sœur Eugénie, il s’agissait des démons personnifiant la chair, ses désirs, la bagarre, et l’insatisfaction. Parlant dans le corps d’Eugénie et répondant aux questions posées par le révérend, ces démons ont affirmé ce qui suit : « Nous venons tous par rapport à la fille dont nous possédons le corps. Vois-tu comment les babouches sont portées à l’envers ? C’est comme cela qu’elle se comporte, quand elle suit la parole. Elle suit bien, et depuis que ses délivrances ont commencé, quand la parole vient ou quand nous disons des choses en causant entre collègues, cela peut lui donner les frissons. C’est comme cela que la parole vient en elle. Quand la parole lui donne les frissons, elle se lâche un peu et elle se retrouve dans ‘‘les situations qu’elle prend pour inconfortables’’ (le fait d’être utilisée par Dieu comme canal des délivrances prophétiques). Quand une délivrance finit et qu’elle se relève, elle part encore s’asseoir… Les machins qui sont derrière, les esprits familiers, vont bien vous expliquer, car elle est la coque vide, là où elle est là. C’est pour cela que depuis qu’elle est dans votre maison, c’est la chair qui suit les messages… Quand elle se lève d’une séance de délivrance et qu’on rentre avec elle, elle peut faire un semblant de regret, après on reprend notre cours normal dans sa vie.
« Dans la parabole des semences, il y a les graines qui sont tombées entre les rochers (les endroits pierreux), où il y a un peu de terre. Une telle semence pousse un peu, puis elle meurt. C’est exactement comme cela que la parole fonctionne, quand les désirs de la chair empêchent qu’elle s’enracine. Tu as fait quelque chose hier, ne répète plus jamais cela. Le gourdin que tu as dosé hier, ne refais plus jamais cela, au grand jamais ! Tout ce que j’ai cité, l’insatisfaction et autres, tournent autour de la chair. Elle vient s’asseoir pendant les cultes, elle écoute la parole. Hier, quand elle est rentrée, elle est partie s’asseoir. Ses frères… Je ne peux appeler ou dire qu’il s’agir de ses frères, parce qu’elle ne sait jamais sentie à l’aise dans la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’). Elle n’a jamais considéré la maison-ci comme sa famille, parce que quand elle a un problème, elle préfère se confier aux gens du dehors, et non à la famille chrétienne. Donc elle fonctionne avec ses réserves, en se disant que dès qu’il y a un problème, elle peut appeler sa famille pour explique la situation. La chair et ses désirs peuvent-ils rompre avec les esprits familiers ?
« Qu’est-ce les esprits familiers utilisent le plus pour ramener les gens dans le nid familial ? C’est la chair et ses désirs ! On utilise cela, parce que même quand elle se décide à marcher avec votre Type (Jésus-Christ) et qu’elle rencontre l’obstacle, nous nous positionnons, nous, ‘‘la chair et ses désirs’’. Ainsi, au lieu de crier, d’appeler le secours du Père d’en haut (Dieu), elle ne le fait pas. Elle prend elle-même le problème en mains, car pour elle, elle doit trouver la solution d’elle-même. C’est comme cela que ‘‘la chair et ses désirs’’ influencent. Hier, quand tu as dosé le gourdin, elle s’est assise et elle s’est demandé : ‘‘ Pourquoi chaque fois que je me lève ou que je sors d’une délivrance, c’est la « bastonnade » qui est sur moi ?’’. Elle appelle cela la « bastonnade » (les appels du pasteur l’invitant à se convertir véritablement). ‘‘Pourquoi est-ce comme cela tout le temps ? Après elle laisse le questionnement et elle soupire en disant : ‘‘Je suis fatiguée’’. C’est ainsi qu’elle a commencé à appeler le nom de votre Type (Jésus-Christ), disant qu’elle est fatiguée. ‘‘ Aide-moi, je suis fatiguée, pardonne-moi…’’. On ne veut pas prononcer le nom de celui à qui elle criait. Elle pleurait, si tu voyais ses yeux ! C’est là qu’elle a bougé un peu, et que son esprit, qui est quelque part, a un peu bougé, un peu.
« Puisque tu poses la question, il y a effectivement beaucoup de coques vides ici dans l’assemblée. Il faut que la personne prenne d’abord un peu conscience, pour que le Père d’en haut (Dieu) agisse. Celle-ci (Carrelle PONGA) n’a jamais pris conscience, là où elle est. Son esprit est dans une bouteille. Il faut savoir que tous ceux qui sont passés chez les marabouts, comme elle, à qui les marabouts ont dit qu’ils enlèvent la malchance et autres, en les lavant, c’est plutôt leur esprit qu’on était en train de prendre. Celle-ci (Carrelle PONGA), son esprit est dans l’eau, dans les profondeurs, dans la bouteille. Même celle en qui je parle (Eugénie KAMANA), son esprit est gardé dans une bouteille, dans l’eau ; son esprit est gardé par la sirène des eaux. Il faut savoir que la chair, la coque vide, ne peut pas recevoir le Saint-Esprit. Donc, même si vous donnez à celle-ci (Carrelle PONGA) à lire La Réalité du Saint Esprit (livre écrit par le révérend par révélation divine, portant globalement sur le Saint-Esprit, la manière de le recevoir, les obstacles à sa réception, son langage, ses manifestations, ses œuvres et l’entretien ou le maintien de son feu chez le croyant) mille ans, elle ne va jamais recevoir le Saint-Esprit. Celle qui est derrière (Eugénie), c’est pareil, surtout avec l’histoire qu’on a encore mise, disant qu’elle a mal aux yeux, elle va lire quoi ? Elle a mal aux yeux, et quand elle met la Bible devant elle, c’est flou. Hier, on a même brouillé les ondes de la radio, qu’elle écoute constamment…
« Ce que tu racontes là (s’adressant à papa Olivier), à savoir que tu n’as pas eu de difficulté à lire La Réalité du Saint-Esprit et à être baptisé du Saint-Esprit, c’est parce que tu es venu ici étant effectivement à la recherche de vote Type (Jésus-Christ) ; on ne t’a pas forcé. Il faut donc d’abord que la personne elle-même accepte votre Type (qu’elle lui ouvre son cœur). Si elle n’a pas accepté, comment voulez que les bouteilles qui maintiennent son esprit captif se cassent ? Comment voulez-vous que les cages qui la maintiennent son esprit captif s’ouvrent ? Ces bouteilles et ces cages ne peuvent pas se casser, puisque c’est par là que leurs esprits familiers les maintiennent. Même si une telle personne est dans votre maison (même si elle vient à l’église), tu vas voir que ses esprits familiers vont revenir les chercher, comme cela avait été le cas pour celle-ci (Carrelle PONGA). Et quand ses esprits familiers étaient revenus la chercher (l’enlever de l’église), c’est en ce temps qu’elle voulait déjà s’ouvrir à votre Type (Jésus-Christ).
« Quand la chair et ses désirs sont en surface, tu vas par exemple voir quelqu’un prétendre qu’il n’a pas de problème avec son frère. Mais tu vas l’entendre dire : ‘‘Quand je suis passé, tel m’a regardé un genre’’, d’où les rancunes, les amertumes, etc. Un autre, quand il veut causer avec sa sœur ou son frère – qui est habituellement utilisé comme canal des délivrances prophétiques -, dira qu’il lie d’abord, pour que ce qui va se dire ne vienne pas sortir sur le ‘‘tatamis’’ (arène ou espace des délivrances prophétiques). Celle en qui je suis faisait cela, elle disait qu’elle lie, s’il y a quelque chose, qu’elle bande les yeux… Sachez que les esprits familiers utilisent les eaux et la forêt, pour y maintenir les esprits des uns et des autres captifs, en cage. Dans la forêt, il y a beaucoup de bruits et quand les esprits familiers partent y mettre les esprits en captivité, il y a les bêtes, qui se chargent d’assurer la garde. Et comme il y a beaucoup de bruits dans la forêt, quand la voix de votre Type (Jésus-Christ) tonne, ceux qui sont ainsi gardés dans les forêts peinent à entendre, d’autant que les animaux sont les gardiens de leur esprit. L’esprit du corps que je possède (Eugénie) est dans la forêt, où il y a les bruits, la distraction. Tous ceux et toutes celle qui sont dans une telle situation ne peuvent pas comprendre, quand la voix de votre Type (Jésus-Christ) tonne.
« L’esprit de celle-ci (Leila Élisée ÉKODÉ) est dans l’eau, et c’est la reine des eaux qui utilise sa coque (son corps). Et sa mère (maman Céline ÉKODÉ) doit faire, car elle n’habille pas sa fille avec les habits que doit porter un enfant. Quand elle habille sa fille, elle l’habille comme une femme. Dis-lui d’habiller sa fille comme une petite fille de son âge, car quand elle l’habille comme une femme, là-bas dehors, on la regarde comme une femme, non plus comme une enfant. Madame, habille-la comme un enfant de son âge. Car quand tu l’habilles comme tu le fais actuellement, dehors, l’homme ne voit pas l’enfant, mais l’homme voit une femme bien bâtie, belle. En plus, que porte-t-elle encore quoi ? Les talons ! Dans ces conditions, la reine des eaux est là en elle, à l’aise, et toi la maman, tu fais pour nous un bon travail. C’est pour cela que la jeune fille ne s’est jamais sentie à l’aise dans votre enclos-ci, que vous appelez maison…. NGOA, ce que tu as fait là n’est pas bien ! Normalement, ce n’était pas notre temps (…). Elle (maman Céline ÉKODÉ) n’est pas la seule qui, dans sa maison, habille ses enfants (ses filles) comme des femmes. Dis-je quelque chose ? Voici un autre exemple de jeune fille que la maman habille de cette manière ; je parle de la jeune fille qui arrête et qui me tend le micro… L’esprit de celle-ci (Reine) est dans la forêt. D’autres sont ou se sentent dans cette maison (le Tabernacle de la Liberté) comme des captifs dans une prison, c’est pour cela qu’ils ne peuvent pas être satisfaits. Quel que soit ce qu’on fait pour eux, ils ne peuvent jamais être satisfaits. Puisque leurs esprits sont captifs en forêt, ils ont souvent des réactions qui – ne cadrent pas avec la vie chrétienne normale -. Celle en qui je parle (Eugénie), son esprit est à la fois dans les eaux et dans la forêt. Depuis que je parle, chacun se reconnaît et sait que son esprit n’est pas en lui, ou en elle »
Vers la fin du culte, après avoir demandé aux fidèles de se séparer de tous les démons susmentionnés, le révérend les a aussitôt décapités, et il les a chassés en enfer. Merci Seigneur.