CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 20 AVRIL, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (16ème partie)
À la suite du message prêché ce dimanche par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et inspiré de Luc 18 : 9-14, le Seigneur a saisi les démons personnifiant l’identité maléfique et la semence du mal. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, l’esprit personnifiant l’identité maléfique a déclaré ceci :
– L’identité maléfique : je suis l’identité maléfique, je suis accompagné de la Semence du mal. On t’a dit qu’on est là pour deux causes. La deuxième cause, c’est la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté ; la première cause concernait Son Excellence Paul BIYA). J’ai dit tout à l’heure que moi, l’identité maléfique, je peux être déchirée, mais ma semence continue toujours à résider dans la vie de celui-là qui a cru s’engager un jour (dans la chrétienté). Ma semence continue à résider en celui-là parce qu’il a lui-même continué à tenir la main de la fille de la ‘‘Grande maîtresse’’ (la franc-maçonnerie). La fille de la ‘‘Grande maîtresse’’, c’est la religion. C’est pour cela que celui-là peut tout faire, il peut tout faire, mais tant que ma semence demeure et réside en lui, il perd son temps, parce que tous les soi-disant efforts qu’il fait dans la chrétienté ne vont rien donner. Aujourd’hui, tu as pris l’exemple de celui qui est parti, NTOH Christophe. Quand il était venu, qu’avais-tu dit concernant la femme qu’il a demandée à prendre comme épouse ? Tu avais dit que c’est une païenne, qu’il ne doit pas l’épouser. Pourquoi n’a-t-il choisi que la païenne pour l’épouser ? C’est justement parce que ma semence reconnaît le corps qui porte la même semence en lui.
– Pasteur Caleb : les deux vivaient dans la fornication, au quartier. La païenne était la première à connaître l’église, et elle n’a rien fait pour se convertir. Et lui, quand il est venu, il a apporté la païenne pour dire que c’est avec elle qu’il veut se marier, qu’il veut passer sa vie sur terre. J’ai dit : ‘‘Àh ! Elle est passée ici et vous vivez en concubinage ? Ne sait-elle pas ce qui s’enseigne ici ? C’est une païenne, tu ne peux pas l’épouser’’. Je le lui disais devant elle-même, ils étaient tous les deux présents, dans mon bureau. Je leur disais que ce mariage ne peut pas marcher, il ne m’a pas écouté.
– L’identité maléfique : comment pouvait-il écouter ? Sais-tu ce qui peut faire en sorte que ma semence soit extirpée dans la vie d’un simple ou d’un chrétien ? C’est la vérité ! Maintenant, la vérité s’accompagne de la sincérité, de la volonté, du courage. Les éléments que je viens de citer là sont des éléments qui poussent… Ce sont des pioches qui fouillent et fouinent. Quand le Saint-Esprit est en train de faire son travail, le courage et tout le reste (la vérité, la sincérité, la volonté) extirpent ma semence dans la vie d’un simple. Quand il n’y a pas la vérité, celui-là sait bien qu’ici, il se doit de dire une chose, mais il ne dit pas. Ou alors il prétend prendre un morceau de vérité, or il ne peut y avoir un morceau de vérité. Soit tu dis la vérité, soit rien. Mais si tu prends un morceau de vérité, tu deviens hypocrite, et c’est le contraire de ce que tu prétends défendre que tu es en train de couvrir.
– Pasteur Caleb : la femme-là était en train de prétendre qu’elle va se convertir, et qu’ils vont se marier. J’ai dit au monsieur : ‘‘Jamais ! Elle ne le pourra pas oh ! N’écoute pas ces choses-là
– L’identité maléfique : c’est le contraire de la chose
– Pasteur Caleb : ils ont fait un temps, ils ont commencé à venir à l’église pour que je vois la chose… Pour finir, ils se sont mariés ! Et après le mariage, est-ce que la femme pouvait encore comprendre ?
– L’identité maléfique : c’est pour cela que j’ai dit que la personne concernée couvre le contraire de ce qu’elle défend. J’ai dit que l’hypocrisie est en la personne, et qu’elle est face à la réalité, le vrai visage sort. Et c’est ce qui s’était passé avec lui.
– Pasteur Caleb : l’assemblée-ci, vous êtes témoins des choses que cet homme confessait, que cette femme lui faisait à la maison : des pratiques ! Vous êtes témoins, non ? Il parlait de cela en assemblée. Il parlait des pratiques que cette femme lui faisait à la maison, et il était toujours avec elle, jusqu’à aller l’enterrer. Et il s’est enterré avec elle !
– L’identité maléfique : il attend l’heure et le jour où il va quitter physiquement la terre, pour aller la rejoindre.
– Pasteur Caleb : j’ai dit à l’homme-là : ‘‘ Enlève tes mains de cette affaire, enlève ta main là-dessus’’. Vous savez, vouloir plaire aux yeux des gens, ce n’est pas bien. Et voilà la compromission ! Quand tu mets ton âme en danger parce que tu veux que les hommes ne te critiquent pas, tu es fini, tu es un homme fini ou une femme finie. Si cet homme avait laissé les gens de cette femme aller s’occuper des restes de la femme, je crois, Identité maléfique, que tu n’allais pas prospérer dans sa vie.
– L’identité maléfique : Comment n’allais-je pas prospérer ? J’ai dit ceci… Je crois que tu ne m’as pas bien suivi. Quand quelqu’un prétend s’engager pour la cause de votre Type (Jésus-Christ), s’il n’y a pas la vérité au fond de lui, il ne fera rien d’autre, si ce n’est arrêter la main de la religion et avancer avec elle. Voici un exemple contraire. Vielle peau (s’adressant à papa Olivier), lève-toi un peu. Il ne faut pas me faire bavarder. N’étais-tu pas marié ? Donne-lui le micro là-bas.
– Papa Olivier : oui et non. J’étais marié et je ne le suis plus spirituellement. Mais légalement, je le suis encore, parce que le divorce n’avait pas légalement été prononcé.
– L’identité maléfique : moi je reconnais la personne qui est mariée à un corps qui porte ma semence. Le comprends-tu (s’adressant au révérend) ? Quand le simple s’engage pour le compte de votre Type (Jésus-Christ), en cet instant, la vérité étant au fond de son cœur, la semence qui m’appartient est extirpée par le Saint-Esprit, et je n’ai plus rien à faire avec la personne. C’est pour cela que le mariage physique ne peut plus exister, parce que le Saint-Esprit a prononcé le divorce le même jour où la personne a accepté votre Type (Jésus-Christ). C’est pour cela que j’ai dit que celui dont vous êtes en train de défendre la cause n’avait jamais divorcé. Même si quelqu’un d’autre enterrait le corps (de sa femme)
– Pasteur Caleb : je ne soutiens pas sa cause. Ils n’étaient même pas encore mariés, quand je lui disais que, n’avance pas avec ça. C’est différent avec le cas de papa Olivier. Ils habitaient ensemble, ils n’étaient pas encore mariés sur le papier, et je lui ai dit : ‘‘Ne t’engage pas, la femme-là est païenne. Elle a connu le milieu-ci avant toi, pourtant vous continuiez à vivre ensemble illégalement. C’est une païenne’’.
– L’identité maléfique : tu vois que celui-ci (papa Olivier), je n’ai rien à faire avec lui.
– Pasteur Caleb : d’abord c’est un tartempion.
– L’identité maléfique : là où il est, si l’identité maléfique, ni ma semence n’existent plus dans sa vie, qu’il ne proclame pas pour autant la victoire, parce que je suis derrière lui.
– Papa Olivier : tu ne m’auras pas, ni ta semence ne m’aura plus, au nom de Jésus.
– L’identité maléfique : Òh ! Assieds-toi… L’engagement spirituel, c’est le jour où chacun de vous rencontre vote Type (Jésus-Christ). C’est ce jour que l’engagement doit se faire une fois pour toutes.
– Pasteur Caleb : il faut être vrai une fois pour toutes. Quand je vous parle de l’engagement total, j’enseigne, j’insiste, je pars, je reviens sur les mêmes choses, vous pensez que, peut-être, le père-ci est en train de déranger.
– L’identité maléfique : votre livre (la Bible) dit que tous ont péché (il n’a pas dit une partie) et sont privés de la gloire de Dieu. Tu vois donc la raison de ma semence. Alors, pour vivre la gloire de votre Type (Jésus-Christ), chacun doit permettre, accepter que la vérité s’installe au fond de son cœur. Et quand elle est déjà là, le Saint-Esprit extirpe ma semence à l’instant, car il ne partage pas sa gloire.
– Pasteur Caleb : Nelly, venez, on vous a mis en standby jeudi. Voilà, l’Identité maléfique et la Semence du mal qui sont là. Je disais, pendant la prédication, que quand on n’est pas vrai avec Dieu et qu’on dise même qu’on va faire son service, ce sera mal fait. Malgré tout le zèle, malgré tout l’engagement et les efforts, ça ne bénit pas. C’était le cas avec ce monsieur, NTOH Christophe. Nelly, de quoi ta grand-mère se plaignait-elle ?
En donnant la parole à Nelly, le révérend a donc abordé et traité le cas de grand-mère Anne MEZANGO, qui se plaignait et disait que tonton Christophe avait pris son esprit et l’avait envoyé dans la télé, avec l’esprit de ses enfants. Le révérend a relevé que la plainte ou la déclaration de grand-mère MEZANGO paraît anodine, pourtant ce n’est pas anodin. Le révérend a poursuivi son intervention en ces termes :
« La plainte de la grand-mère est arrivée à moi contre tonton Christ. Elle s’était plainte qu’il a pris son esprit et l’esprit de ses petites filles. Vous voyez, cela paraît anodin, mais c’est profond. Vous voyez, c’est une vieille maman de 101 ans qui doit aller au ciel. S’il faut maintenant qu’elle soit scandalisée à la fin de ses jours, et si elle meurt avec un chagrin dans son cœur, pensez-vous qu’elle va encore aller au ciel ? Non ! Nelly, appelle la grand-mère là. Je l’ai vue dans une salle. Il faut qu’elle sache que le preneur de son esprit n’est plus là, parce que je veux que la grand-mère là soit sauvée… Cela paraît anodin, mais ce n’est pas pour rien, parce que le corps de NTOH était actif ou zélé pour faire les choses, mais son esprit n’était pas disposé. Je sais qu’il avait souvent l’habitude de réparer certaines voitures des frères ici à l’église. Je ne sais pas s’il a fini avec vous avant de partir, ou s’il n’a pas encore fini. S’il y a quelqu’un qui a encore des traités avec lui, par rapport à une ou à des voitures, pardon, que la personne avance. N’y a t-il personne qui ait des traités avec lui par rapport aux voitures ? Voilà quelqu’un là-bas. As-tu des traités avec lui par rapport à la voiture ? ».
– Maman Virginie : bonjour papa. Je n’ai pas de traité avec lui par rapport à la voiture, mais c’est autre chose, c’est par rapport à l’argent.
– Pasteur Caleb : te doit-il ?
– Maman Virginie : oui papa.
– Pasteur Caleb : combien ?
– Maman Virginie : 100 000 F CFA.
– Pasteur Caleb : pourquoi a-t-il pris cet argent ?
– Maman Virginie : il est venu me voir, me disant qu’il veut l’argent pour aller retirer le corps de sa femme.
– Pasteur Caleb : Yàhhhrr ! Regarde la femme-ci ! Tu es même comment ? Kiéu ! Ékié ! Tu es même comment non ! Ça’ah! Je comprends. C’est pour cela qu’il venait te dire au revoir, sachant que tu vas le poursuivre. Vous voyez la malhonnêteté ! C’est l’au revoir-là qui allait te donner tes 100 000 ? C’est quelle histoire ? Donc tu as l’argent, hein ?…
– Maman Virginie : papa, quand on a annoncé que son épouse est décédée, il est venu un 20 h00 à la maison. Il m’a dit qu’il va aller prendre le corps à la morgue, et qu’il viendra enterrer immédiatement. Et cet argent, que je le gardais, c’était pour l’école des enfants. Alors, il avait tellement supplié cette nuit-là, disant qu’il part chercher immédiatement pour enterrer. J’ai été surprise, je lui ai dit : ‘‘Bon, j’ai l’argent, mais seulement, c’est pour l’école des enfants…, puisque quand il a expliqué, je n’ai pas pu dormir…
– Pasteur Caleb : on n’a pas besoin de tout ce bavardage. Tu donnes quelle explication ? Mais c’est quelle histoire ? Je croyais que c’était pour une autre affaire, quand tu t’es présentée disant que c’est une question d’agent. Je croyais que c’était pour d’autres affaires, mais tu donnes ton argent pour aller prendre le corps, le corps de qui ? Une sorcière ! C’est quoi ça ? Moi, j’avais dit que ni de près ni de loin, l’histoire du deuil de la sorcière-là ne va voir mon ombre. Quand moi j’ai appris que tu avais une question d’argent avec NTOH, je me suis que, pour que tu ne sois plus en contact avec lui, moi je vais te rembourser. Mais je sais que si je te rembourse, c’est moi qui serais en train de participer. Il faut oublier cela. Ne compte même plus cela comme une dette. Tu as d’abord très mal fait, tu as très mal fait…
Le révérend a continué à lancer un appel à manifestation, pour que les personnes qui ont des traités en suspens avec NTOH Christophe puissent se signaler, et que tout soit publiquement réglé, notamment par le biais ou la médiation de l’église. Papa Sylvanus s’est par exemple manifesté par rapport au plan de construction que lui avait remis NTOH Christophe. Le révérend lui a instruit de remettre le plan en question au frère Blanchard. Frère Grégoire NGUIMEYA a déclaré qu’il a emprunté une balance à Christophe NTOH. Le révérend lui a demandé de venir remettre la balance en question au frère Blanchard, etc. Plus tard, le révérend a conduit la prière en faveur de grand-mère Anne MEZANGO, pour la préservation de son âme et l’anéantissement des esprits ou des missionnaires sataniques opposés au salut de son âme. Reprenant la parole, l’esprit personnifiant l’identité maléfique a déclaré ceci :
« Comme je t’en ai pris l’exemple, c’est comme cela. Ils ont donc là, qui ont le même problème. Tu disais (s’adressant au révérend) que quand certains parent de l’église, les gens s’imaginent ou s’étonnent du départ de la personne. Or c’est juste la récolte, puisque les fruits avaient déjà germés. C’est quand arrive l’étape de la récolte que tu vois l’élément sortir. C’est comme cela que je fonctionne et beaucoup sont dans cette situation ». Prenant le relais des interpellations, l’esprit personnifiant la semence du mal s’est introduit en ces termes : « En dehors de Christophe NTOH, il y a une femme que je cherche… Leur père était parti (au ciel). Je cherche la grande sœur (Louisa KINFER)… Moi qui parle (s’adressant à Louisa), je suis la Semence du mal, et c’est moi qui fais en sorte que l’identité maléfique se reconstitue dans ta vie, parce qu’une fois qu’il y a reconnexion entre moi et l’identité maléfique, sache que tout reprend à zéro dans ta vie. Tu vois que toi-même tu as usé de faux, n’est-ce pas ? Tu as usé de faux, par rapport à ton mariage, tu le sais non ? ». Louisa a nié avoir usé de faux, et en la reprenant, le révérend lui a posé la question de savoir si elle a fait son mariage dans la droiture. « Le pasteur était-il au courant de ton mariage ? Qui ici à l’église était au courant de ton mariage ? », a ajouté le révérend. Louisa a admis que personne n’a été au courant de son mariage, pourtant elle venait quand même à l’église, bien que ce fut comme en cachette. Puis elle a précisé ceci : « Avant de me marier, pasteur, je vous ai quand même écrit. C’est vrai que vous ne me connaissiez pas avant ; mais je vous avais quand même écrit pour vous tenir informé ».
– Pasteur Caleb : je savais que j’avais affaire à qui ? Est-ce que je te connaissais ?
– La semence du mal : et même si tu avais écrit à ton père, est-ce qu’il t’avait donné le feu vert, pour aller te marier ? Tu vois donc que moi, la Semence du mal, quand je te pose la question en te disant que tu as usé de faux avec ton mariage, tu ne te retrouves pas. Et c’est avec le même faux que tu as engagé, soi-disant, ta marche avec votre Type (Jésus-Christ). Le sais-tu ? C’est pour cela que moi, la Semence du faux, j’avance et j’évolue avec toi, car quand tu as commencé, il n’y avait pas la vérité au fond de ton cœur.
L’esprit personnifiant la Semence du mal a ajouté que chacune de ses semences a un nom spécifique dans la vie de ceux en qui cette semence agit. Chez Louisa, cette semence se caractérise par l’usage du faux. « Le faussaire vient, il se glisse comme un mauvais esprit, et il repart comme un mauvais esprit, sans que personne le sache. Avez-vous fini votre culte ? Non ! Mais le mari de Louisa n’est plus là », a dit la Semence du faux. Le révérend a rappelé que si Louisa avait été honnête, conformément aux enseignements dispensés, elle n’allait pas partir se marier en cachette, sans que le pasteur, sans que l’église ne soit au courant. C’est malheureusement le même chemin que sa petite sœur a suivi. « Cette histoire de mariage, ce n’est pas facile, il faut réparer cela avant qu’il ne soit trop tard. Il faut se convertir en vrai. Si vous étiez déjà des fidèles d’ici, cela n’allait pas se passer comme ça. Vous n’étiez pas fidèles d’ici, et vous vous êtes mariés dans le jonglage. Mais toi-même, tu confirmes que ça ne donne pas, non ? ». À cette question du révérend, Louisa a déclaré que ça va déjà un peu, et de cette réponse, le révérend a fait remarquer qu’elle est toujours dans le faux, qu’elle veut toujours se justifier. « La semence du faux est réellement en elle… Louisa, la vérité doit être au fond de ton cœur. La fausseté est réellement dans ton cœur-là. On est là non ! L’avenir nous le dira », a regretté le révérend.