CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 19 JUIN 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (18ème partie)
Ce jeudi le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a abordé des faits d’actualité tendant à saper le climat de sérénité, de calme et de paix à l’approche de l’élection présidentielle prévue en octobre prochain au Cameroun. Ainsi, le révérend a décrié la démarche de certains ressortissants du Sud (Jean Calvin ABA’A OYONO, Appolinaire Legrand OKO, Willy MENGUE, Marcel EBENE, etc.), qui ont récemment publié une déclaration invitant leurs frères et sœurs à rompre avec le Président Paul BIYA.
Après avoir décrypté les violences et les exactions émanant souvent des forces de défense en situation de crise, en l’occurrence lors du coup d’État manqué du 06 avril 1984, le révérend a rappelé que pour le cas explicite du Cameroun et de Son Excellence Paul BIYA (qui a abattu un grand travail en silence, en refusant notamment de reconduire les accords coloniaux, déblayant ainsi la voie de l’émergence pour ses successeurs), les forces de l’ordre et de défense doivent protéger la population et les institutions, plutôt que de s’ouvrir aux insurrections dirigées contre le pouvoir en place. Une fois ces jalons posés, le révérend a invité les fidèles à prier, afin de bannir les troubles, les coups d’État, la déstabilisation, ainsi que toute forme de violence politique et militaire au Cameroun. Voici l’extrait de cette prière :
« J’ai cet article de Panoramapapers qui dit : « Présidentielle 2025 | Cameroun : des fils du Sud appellent à un vote sanction contre Paul Biya. Dans une déclaration publique dont nous avons reçu copie, Jean Calvin Aba’a Oyono, Appolinaire Legrand Oko, Willy Mengue, Marcel Ebene, etc lancent un appel afin que leurs frères et sœurs s’engagent à prendre leur destin en main. Ils soutiennent que les populations de la région du Sud ne doivent plus avoir pour seul destin la souffrance et le silence ou la mort. Des fils du Sud demandent aux populations de cesser d’être à la solde des politiciens véreux qui les prennent en otage et les instrumentalisent à des fins personnelles contre leurs compatriotes des autres régions du pays. “Prenez votre destin en mains, en tournant le dos à cette humiliante éducation de la servitude volontaire ou forcée ! Vous deviendrez alors des citoyens et non plus ces sujets exposés à la risée des Hommes libres!”, clament des fils du Sud.
« « La déclaration des fils du Sud se situe dans le contexte de la présidentielle 2025, qui pointe à l’horizon. J.C. Aba’a Oyono, Dr Oko, W. Mengue et autres soutiennent que leurs frères et sœurs ont le choix entre deux attitudes. La première est celle du silence, de l’inaction, de l’observation passive, le choix de la peur ou de la connivence avec le régime sortant. Si cette posture est choisie par les populations, des fils du Sud pensent “qu’elles auront opté pour la démission tant elles auront choisi de continuer à subir encore et toujours après avoir subi depuis 1982”. Ils indiquent que ce sera un “choix irresponsable”. Et pour cause: “Chaque citoyen doit exiger de ceux qui gouvernent de meilleures conditions de vie pour lui-même et pour ceux qui lui sont proches. Ils clament que “face à un régime sortant et bientôt sorti, qui a lamentablement échoué dans tous les secteurs de la vie nationale, ils doivent exercer leur sanction dans les urnes lors de cette élection présidentielle. Sinon, leur sort et celui de leurs proches (parents, frères, sœurs et enfants) est négativement scellé. Rester donc passif dans le contexte actuel, c’est être irresponsable”.
« « Des fils du Sud appellent alors leurs frères et sœurs à s’affranchir de cette attitude pour adopter la seconde attitude qu’ils jugent utile et responsable. C’est celle de l’engagement, de l’action, de la participation au grand changement politique, qui va s’opérer cette année. “Le véritable changement est celui qui vient du peuple. Après 43 ans, nous pouvons affirmer que le changement qui a eu lieu en novembre 1982 au Cameroun, et qui ne venait pas du peuple, n’a quasiment rien apporté de bénéfique aux populations paupérisées à la région du Sud”, arguent-ils. Aba’a Oyono et cie illustrent le fait que la nomination des ministres et des Directeurs généraux originaires du Sud n’a rien apporté à l’écrasante majorité des Camerounais de cette région, dont les conditions de vie se sont considérablement dégradées en comparaison à celles connues jadis sous le président Ahidjo notamment. Raisons de l’engagement des fils du Sud pour le changement.
« « Des fils du Sud énumèrent une litanie de raisons justifiant leur option pour le changement. Ils citent: l’état désastreux des routes (référence faite aux axes Ebolowa-Akom2-Kribi- Sangmelima-Oveng- Fang, Meyomessala-Bengbis ; le manque d’énergie électrique dans certaines localités du Sud depuis l’indépendance du Cameroun ; le chômage endémique des jeunes diplômés ou sous-scolarisés ; la mauvaise qualité de vie qui se dispute la scène sociale avec le désespoir généralisé ; l’inachèvement de plusieurs projets infrastructurels plus de dix ans après la tenue du comice agro-pastoral à Ebolowa. Aussi des fils du Sud fustigent-ils un mensonge qui n’a que trop duré, à savoir celui consistant à présenter les ressortissants du Sud comme attachés à la personne et à la politique de Paul Biya pour la simple raison qu’il est natif de la région du Sud. “Soutenir ce mensonge, c’est vraiment prendre les populations du Sud pour des esclaves”, expliquent Aba’a Oyono et cie, qui récitent le chapelet d’interrogations.
« Les amis, il y a vraiment ébullition ! Mais, ces agitations ne peuvent pas changer le programme de Dieu par rapport à cette nation. Nous avons cette information de Jeune Afrique relayée par Cameroun Web qui nous dit que : « Les forces de sécurité se préparent en silence à l’après Biya ». Je vais parler aux forces de sécurité : » L’Afrique a juste besoin de se libérer de la domination occidentale ! » La façon de faire des militaires n’est pas souvent bonne. Nous devons prier Dieu afin qu’Il nous préserve de tout trouble. Lève-toi encore, tu déclares cela avec moi. Nous mettons le feu sur tout plan de coup d’État venant d’un quelconque haut gradé de l’armée camerounaise ! Le feu de Dieu sur tous plans de coup d’État au Cameroun ! Le feu de Dieu sur tous les hauts gradés de l’armée ! Le feu de Dieu les calcine ! Le feu de Dieu les calcine ! Le feu de Dieu les calcine, au Nom puissant de Jésus !
« Tous ceux qui veulent troubler la paix de cette nation sont neutralisés par le feu ! Ô Dieu, ils sont neutralisés par le feu ! Ils sont neutralisés par le feu ! Ils sont neutralisés par le feu ! Ils sont neutralisés par le feu ! Ils sont neutralisés par le feu ! Qui qu’ils soient, ils sont neutralisés par le feu ! Où qu’ils soient, ils sont neutralisés et calcinés par le feu de Dieu ! Toutes leurs réunions sont consumées ! Seigneur, nous envoyons le feu au milieu d’eux et nous les dispersons ! Tous les ennemis du Cameroun sont calcinés ! Ils prennent feu ! Ils prennent feu ! Ils prennent feu ! Ils prennent feu ! Ils prennent feu ! Ils prennent feu ! Ils mordent la poussière, au Nom puissant de Jésus ! Seigneur, nous savons que ce pays est entre tes mains, et Tu le conduis comme Tu as prévu. Tu positionnes ton choix. Tu as la maîtrise, Seigneur ! Merci parce que Tu mets échec à toute tentative de déstabilisation du Cameroun ! Tu mets échec ! Tu fais échec ! Tu fais échec ! Tu fais échec ! Tu fais échec ! Tu fais échec !
« Merci Seigneur parce que Tu as le contrôle de tout ! C’est Toi qui as le contrôle de la nation camerounaise : du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Seigneur, Tu décimes tous ceux qui se rangent contre la nation camerounaise. Tu les décimes ! Tu les décimes par ton feu ! Tu les décimes par ton feu ! Tu les décimes par ton feu ! Tu les décimes par ton feu ! Tu les décimes par ton feu au Nom puissant de Jésus ! Merci ô Dieu pour ce que Tu fais. Au Nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! (…). J’ai cet autre article d’Africacœurnews qui dit : « Violence policière à Yagoua : un appel au changement. Un incident qui choque la nation. Le week-end dernier, Yagoua a été le théâtre d’un événement de violence policière qui a choqué l’ensemble du Cameroun. Alain Biena, un jeune homme, a subi de graves actes de torture lors d’un contrôle de routine. La vidéo de cette agression, diffusée par Équinoxe Télévision, a circulé sur les réseaux sociaux, soulevant une indignation massive. Cet incident n’est pas un cas isolé : il met en relief des problématiques qui gangrènent les forces de l’ordre camerounaises.
« « La réaction du public a été rapide et intense. Des milliers de Camerounais ont exprimé leur colère sur les réseaux, appelant à des réformes profondes au sein de la police. Philippe Nanga, une voix influente de la société civile, a dénoncé ces abus en affirmant que la demande d’identification des policiers par les citoyens n’est pas illégale. Ses mots ont résonné auprès d’un public qui se sent souvent désarmé face à l’autorité policière. Ce climat de tension rappellera à beaucoup d’autres épisodes de violence policière au Cameroun, notamment les manifestations de 2016 et 2017, marquées par des abus similaires. L’incident de Yagoua pourrait bien devenir le catalyseur d’un mouvement plus vaste, plaidant pour justice et responsabilité. Ce n’est pas un bon esprit qui anime ces hommes en tenue (…). Le feu sur les esprits de bêtes qui pourraient hanter les hommes en tenue ! Le feu de Dieu sur eux ! Tous ces esprits de bêtes qui entrent en eux et les incitent à la violence ! Le feu de Dieu calcine cela ! Ces animaux-là sortent de leurs corps ! Ces animaux-là sortent de leurs corps ! Ces animaux-là sortent de leurs corps, au Nom de Jésus ! Par le feu ! Par le feu ! Par le feu ! Par le feu ! Le feu sur ces lions ! Le feu sur ces lions ! Le feu sur ces lions ! Le feu sur ces animaux féroces ! Le feu sur ces lions ! Le feu de Dieu les calcine au Nom puissant de Jésus ! Merci Seigneur de nettoyer l’armée camerounaise par le feu ! Au Nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! ».
Au terme de cette prière, le Seigneur a saisi les démons personnifiant les troubles et le bain de sang. Tous ont déclaré qu’ils ont été envoyés au Cameroun, et le démon incarnant le bain de sang a précisé qu’il veut sévir à travers les hommes en tenue, qui sont manipulés à cet effet par le Ministre de la Défense Joseph BETI ASSOMO, lequel a reçu cette mission du Général Hubert BONNEAU, commandant de la gendarmerie française, qui a récemment visité le Cameroun. « As-tu vu ce qui s’est passé avec le Général français – Hubert BONNEAU – ? Vous blaguez avec lui. Il faut en finir avec lui, parce qu’il est venu semer le bain de sang au Cameroun », a ajouté l’esprit cité.
Au nom puissant de Jésus, le révérend a finalement stoppé tous les démons susmentionnés, en les décapitant et en les chassant en enfer. Brisons constamment leurs renforts et leurs renouvellements ! Merci Seigneur !