CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 14 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)
Monsieur Bertrand Elix METSOPJIO, souffrant des problèmes de diabète, de mal de dos, d’hypertension et autres, est venu au culte en ce jour, conduit par son petit frère, le frère ZANGUE. En l’interpelant, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA lui a adressée cette exhortation :
« Ce dont tu as besoin urgemment dans ton cœur, c’est de Jésus. La vie ne finit pas ici sur la terre. Sur cette terre, nous sommes juste de passage, et nous tous, nous allons mourir. Mais tout dépend où est-ce qu’on va aller passer l’éternité dans l’au-delà, car la vie continue de l’autre côté, où il y a deux routes, une qui monte avec Jésus ; et l’autre qui descend en enfer, avec le avec le péché, les coutumes, les traditions et autres. Et c’est sur cette terre qu’on choisit la route qu’on va emprunter, celle qui monte ou celle qui descend. Quand tu choisis celle qui monte, cela veut dire que tu dis au revoir aux us, aux coutumes, aux traditions, au péché. Aujourd’hui, tu as le choix. Quand tu vas rentrer… Quel choix vas-tu faire ? Vas-tu descendre ou vas –tu monter ?
« Madame, ce que je dis à ton mari te concerne aussi, ainsi que tous ceux qui sont venus au culte aujourd’hui, avec un problème quelconque qui les tient à cœur : succès, prospérité, guérison, etc. Ce ne sont pas ces choses qui comptent, elles qui attirent souvent les gens à l’église. Ce qui compte, c’est là où on va passer l’éternité. Ton frère m’a parlé de ton cas, tu as le diabète et la tension ».
– Frère ZANGUE : on a amputé son pied, et les médecins parlaient du rein qui a des problèmes. Il a tellement de problèmes, qu’il n’y a que Jésus – pour intervenir -.
– Pasteur Caleb : C’est pourquoi je suis en train de l’exhorter, pour qu’il sache qu’il ne doit pas être focalisé sur la guérison physique. On peut être guéri de toutes les maladies et elles reviennent, ou même si elles ne reviennent pas, on sera appelé à partir, et il faut faire le choix, pour la vie éternelle. Ce choix se fait ici sur terre, quand on est encore en vie. Soit on choisit Jésus qui est la vie, soit on choisit le péché, les us et les coutumes, qui vont nous mener en enfer. Tu fais quel choix ?
– Monsieur Bertrand Elix METSOPJIO : Je choisis Jésus.
– Pasteur Caleb : Ne sois pas amère en voyant ce qui t’est arrivé, ou du fait de ta jambe amputée… Confiez-vous à Dieu, souvenez-vous de Job. Il a tout perdu en un seul jour, et pour couronner le tout, sa santé a été attaquée. Toi tu marches même. Tu es même bien. Job ne dormait pas, parce que les ulcères qui sont sortis de son corps démangeaient, jusqu’à ce qu’il a pris les tessons de bouteille, pour se gratter le corps, parce le corps lui démangeait tellement. Ce Job n’a jamais maudit Dieu, il ne s’est pas plaint et il n’a pas dit : « Dieu, qu’est-ce que tu me fais comme ça ? ». Mais il a dit : « Dieu a donné et Dieu a repris, que son nom soit loué à jamais ». C’est le genre de comportement que tu dois avoir, ainsi que tous ceux qui cherchent Dieu.
Pendant cette exhortation, le Seigneur a saisi un esprit impur. Écroué dans le corps d’une jeune dame, cet esprit a fait savoir qu’il affecte monsieur Bertrand Elix METSOPJIO.
– L’esprit impur : Votre Type (Jésus-Christ) a tout remis à Job. Lui alors (parlant de monsieur Bertrand Elix), aura-t-il encore les pieds ? Aura-t-il encore les reins et les pieds ? Owo’ô !
– Pasteur Caleb : Qui es-tu ?
– L’esprit impur : Je suis la Religion. Quelqu’un a le pied coupé. Votre Type (Jésus-Christ) n’a-t-il pas tout remis à Job ? Tu racontes quoi comme cela ?
– Pasteur Caleb : Cela ne s’est pas passé en un seul jour.
– L’esprit de religion : Comme il est venu ici, dès qu’il va se donner à votre Type… Ah ! Laissez ça !
– Pasteur Caleb : Cela ne s’est pas passé en un seul jour. Job a tout perdu en un seul jour, et il a reçu ce qu’il a perdu…
– L’esprit de religion : Voilà !
– Pasteur Caleb : Mais c’était longtemps après. Ce n’était pas en un seul jour.
– L’esprit de religion : Donc, comme on a coupé son pied, son pied va-t-il revenir longtemps après ?
– Pasteur Caleb : Son pied n’est même pas coupé. Si tu le vois à l’intérieur, vois-tu que son pied est coupé ? L’homme n’est pas le corps, l’homme n’est pas la carcasse-ci, cette carcasse que tu as.
– L’esprit de religion : Lui, a-t-il vu l’intérieur ?
– Pasteur Caleb : Ta carcasse peut avoir un handicap, mais ton esprit n’a aucun handicap, et c’est ton esprit qui doit accueillir Dieu, accueillir son Esprit saint.
Peut-il encore marcher sur ses pieds ? Peut-il encore se lever, comme tu lui parles de Job, qui a encore eu les enfants, et dont toutes les richesses se sont encore multipliées. Le comprends-tu ? Il ne faut donc pas avoir de faux questionnements. Qui as-tu dit que tu es ?
– L’esprit de religion : Je suis la Religion, sa religion. Je suis la Religion, toi tu prends les exemples sur Job ! Job a eu… Après, votre Type (Dieu) l’a béni au… Mai lui, là où il est assis, peut-il encore marcher normalement de ses pieds ? Dis-moi un peu.
– Pasteur Caleb : C’est la question que tu poses.
– L’esprit de religion : Oui.
– Pasteur Caleb : Est-ce la question que tu lui fais poser ?
– L’esprit de religion : Il se pose lui-même la question de savoir s’il peut encore se lever, et marcher sur pieds. Comme tu parles de Job, Job a encore eu les enfants, Job a encore eu l’argent, etc., et tout cela était multiplié. Mais lui alors ? Ah !
– Pasteur Caleb : ‘‘Religion’’, tu vois que tu raisonnes mal, n’est-ce pas ?
– L’esprit de religion : Je raisonne bien, comment dis-tu que je raisonne mal ? Quelqu’un est là, les reins foutus, les ceci foutus, et tu lui racontes l’histoire de Job qui a été béni. Job a été béni sur cette terre.
– Pasteur Caleb : Et Lazare ?
– L’esprit de religion : On parlait de Job.
– Pasteur Caleb : Prends l’exemple de Lazare. Il était pauvre, rempli d’ulcères, et il est mort ainsi. Mais qu’est-ce que la Bible nous dit ? Quand il est mort, il a été emporté par les anges de Dieu, et quand le riche est mort, il a été enterré. Ce qui compte c’est la vie éternelle, c’est elle qu’il a dit qu’il choisit.
– L’esprit de religion : Donc tu préfères la souffrance (s’adressant à monsieur Bertrand Elix METSOPJIO) ! La vie est belle. Quand tu avais tes deux pieds, comment étais-tu ? Regarde comment tu es déjà, invalide !
– Pasteur Caleb : Ton raisonnement, je détruis cela dans sa vie ! Merci Seigneur ! Ne laisse pas ces esprits de religion traverser ta tête.
– Monsieur Bertrand Elix METSOPJIO : Amen.
– Pasteur Caleb : La vie ne finit pas ici sur terre, confie-toi à Dieu, bon gré mal gré. Confesse à Dieu tes péchés, ne l’accuse pas en disant qu’il t’a donné la maladie, qu’il a détruit tes reins, qu’il a amputé ta jambe… Seigneur, merci de lui pardonner ses péchés. S’il te plaît, accueille sa prière, accueille notre prière, que nous t’adressons pour le salut de son âme. Seigneur, sauve son âme, sauve Bertrand, Seigneur. Que le sang de Jésus puisse le laver. Merci, parce que ta main est sur lui et tu permets que le nombre de jours que tu as prévus pour lui sur terre soit accompli. Seigneur, tu sais ce qui nous concerne, et tu as un plan pour chacune de nos viens. Tu as un plan dans la vie de Bertrand. Merci, parce que tu lui donnes de connaître tes voies, surtout de les apprécier.
Finalement, le révérend a décapité l’esprit de religion et l’a chassé en enfer. Merci Seigneur !