DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – EMMANUEL NGANOU DJOUMESSI, LUC MESSI ATANGANA, ROGER MBASSA NDINE, ETC. : L’ESPRIT DE VOL VANTE SES GRANDS DISCIPLES ET LEURS « GRANDES RÉALISATIONS »

CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 11 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)

Intercepté par le Seigneur et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, l’esprit de vol a déclaré ce qui suit :

« C’est moi, je suis le seul ministre raisonnable, le seul ministre valable, le seul ministre digne, qui mérite de s’asseoir sur le trône de gloire. Je suis le Vol. Wèèh ! C’est-à-dire que, je te dis que je suis ancré dans chaque pore de la coque de NGANOU DJOUMESSI (Ministre des Travaux publics). Hou ! Non ! Il est bon ! Il prémédite le vil, il vole tout. Êtes-vous sûrs que vous aurez même une route ? Quand on parle de meurtre avec préméditation, il prémédite tout, il prémédite le vol. Je suis entré en NGANOU DJOUMESSI depuis, c’était en 2000 combien ? Était-ce le 04 janvier ? Je suis entré en lui depuis le 04 janvier 2019 (date de formation de l’actuel gouvernement). Dès qu’il a seulement entendu son nom, il a dit « Amen » à papa lucifer, et il a ajouté : « Je serai ton fidèle et valeureux soldat, ne doute même pas un peu ». Tu demandes pourquoi je suis ici maintenant ; en fait, c’est la main du Type d’en haut (Dieu) qui m’a dégagé. NGANOU DJOUMESSI est allé à Douala, ce qu’il est parti y faire, on ne sait pas.

« Si je suis ici, c’est pour dire qu’il a exagéré avec le vol. Je ne suis avec personne d’autre dans ce corps, je suis bien comme je suis, je me suffis. Là où NGANOU DJOUMESSI a davantage exagéré avec le vol, c’est en ce qui concerne la construction de la route… La national quoi ? Je veux dire la route Mora-Dabanga-Kousseri. Wèh ! Le type ci ! Et ce qui m’énerve, c’est qu’il a ses disciples, comme celui qui est le super maire de Yaoundé, voilà son disciple, ce Luc MESSI ATANGANA. Il y a également le super Maire de Douala. Voilà ses disciples. Le super Maire de Douala va même dépasser le professeur, il s’appelle MABASSA NDINE. Le type-là vole ! Donc… Tu demandes à savoir ce qu’ils font avec tout cet argent qu’ils volent. Ils construisent les appartements meublés avec cet argent, car c’est ce qui est vogue, ils ouvrent également les stations (pour la commercialisation du carburant). Voilà encore ce qui est en vogue. Ensuite ils volent encore, et ils mettent dans les châteaux d’eau. Ainsi, quand tu vois le cubitenaire posé comme réserve ou château d’eau, tu croiras qu’il contient de l’eau, or c’est l’argent ».

Intervenant en marge de l’esprit de vol, les démons d’impunité et de corruption ont ajouté ceci : « On disait tantôt que NGANOU DJOUMESSI est le seul ministre valeureux qui mérite d’être reconduit, tant qu’il est assistant numéro 1 du ministre passe-partout, le Vol. Il n’a jamais arrêté de voler ! Ces jours-ci, il est à Douala, il part flatter les populations ». Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé l’esprit de vol, en le décapitant et en le chassant en enfer. Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN / PRÉSIDENTIELLE 2025 – LES DÉLÉGATIONS DE CHEFS TRADITIONNELS AU PALAIS DE L’UNITÉ ÉCHOUENT À Y IMPLANTER LE MYSTICISME

CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 11 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)

Pendant le culte de ce jeudi, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a invité les fidèles à prier, afin de neutraliser, par le feu du Saint-Esprit, les totems et autres entités maléfiques apportés à la Présidence de la République par les différentes délégations de chefs traditionnels (223 chefs environ) reçues par le Secrétaire général de la Présidence de la République, Ferdinand NGOH NGOH, dans le cadre des consultations ou des concertations préélectorales. La prière du jour a particulièrement été axée contre les délégations des chefs traditionnels du Sud et de l’Est. Voici l’extrait de cette prière :

« Les amis, n’oubliez pas que nous sommes en période pré-électorale. Donc, nous voulons prier aujourd’hui suivant l’actualité qui meuble les journées. Nous voulons vraiment être aux aguets, afin d’annuler tout ce qui n’est pas de Dieu. Nous allons d’abord prendre le sujet concernant les concertations entre les chefs traditionnelles et le SGPR, en prélude à l’élection présidentielle d’octobre 2025. Le reportage qui en parle nous dit clairement que le nombre des autorités traditionnelles qui ont défilé à la Présidence remonte d’environ 223. En effet, ce mardi 09 septembre 2025, dans la salle B 324 de la Présidence de la République, le Ministre d’État, Secrétaire Général de la Présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh, a reçu en audience la délégation des Chefs traditionnels de la Région du Sud. Selon le journaliste Bruno Bidjang, plus de 40 autorités traditionnelles issues des départements des quatre départements de la Région du Sud notamment : la Mvila, la Vallée du Ntem, le Dja-et-Lobo et l’Océan prennent part à cette rencontre historique. Le point culminant de cette rencontre a été la remise d’un trône au chef de l’État, Paul BIYA.

« Ces chefs traditionnels ont un même message. Et ce qu’ils disent officiellement n’est pas la réalité. Raison pour laquelle, nous devons annuler tout ce qu’il y a de négatif dans leurs faits et gestes. Mettons le feu sur tous les totems qu’ils veulent renouveler. Ceux qui sont suivi les délivrances en 2013, savent que tous ces éléments apportés ou matérialisés par ces chefs traditionnels du Sud étaient dénoncés comme étant les totems du Chef de l’État. Nous comprenons par-là que ces gens veulent renouveler ces totems, qui avaient alors été détruits. Nous mettons le feu sur tous ces totems ! Le feu de Dieu sur ce trône ! Ces totems sont calcinés par le feu ! Nous mettons le feu sur les totems de lion, de panthère et autres ! Tous ces soi-disant gardiens angéliques sont anéantis par le feu ! Le feu sur ces sirènes des eaux ! Le feu sur ces sirènes ! Tout autre totem qui n’a pas été évoqué de manière manifeste est calciné ! Le feu de Dieu calcine ! Le feu de Dieu calcine ! Le feu de Dieu calcine ! Le feu de Dieu calcine ! – Merci Seigneur, parce que Tu mets tous ces totems hors d’état de nuire. À Toi la gloire ô Dieu pour ce que Tu fais.

« Nous avons cet autre article qui dit : ‘‘Présidentielle 2025 : Ferdinand Ngoh Ngoh reçoit les chefs traditionnels de l’Est’’. Tel est le titre d’un article de Cameroun Web paru le mercredi 10 septembre 2025. En effet, après les chefs traditionnels de l’Ouest, du Sud-Ouest, du Littoral, du Nord-Ouest, du Sud, c’était donc autour des chefs traditionnels de l’Est d’être reçus au Palais de l’Unité. Il convient de préciser que la réception s’inscrit dans le cadre des concertations entamées depuis plusieurs mois maintenant par le Secrétaire général à la Présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh, lit-on. Pour le cas, l’audience s’est tenue le mercredi 10 septembre 2025 au palais de l’Unité et les chefs traditionnels mobilisés ont apporté un gorille matérialisé. En charge de la coordination du Comité stratégique autour de la candidature du président Paul Biya à l’élection présidentielle du 12 octobre prochain, Ferdinand Ngoh Ngoh a donc accordé une audience aux chefs traditionnels de la région de l’Est. Une rencontre qui a permis aux chefs traditionnels de réaffirmer leur soutien indéfectible au président Paul Biya lors de l’élection présidentielle du 12 octobre, ajoute l’article.

« Assemblée, tu vas détruire tous les totems des différentes délégations qui ont foulé le sol du Palais de l’Unité. Le feu sur les totems des chefs traditionnels des dix Régions ! Le feu de Dieu sur tous leurs totems ! Rien ne se reconstitue au Cameroun ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Merci Père Saint pour ta main tendue sur le Chef de l’État, Son Excellence Paul BIYA ! Seigneur, le trône d’Étoudi est occupé par Toi le Roi des rois. On veut te détrôner pour mettre des créatures ! Le feu de Dieu sur ce projet ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Seigneur, à Toi la gloire, l’honneur pour tout ce que Tu fais ! Au Nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! ».

En exaucement à cette prière, le Seigneur a saisi le démon personnifiant le mysticisme raté. Écroué dans le corps d’une jeune dame et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, cet esprit a affirmé ce qui suit : « Je suis le Mysticisme ; voilà mon poster, c’est un poster de moquerie, car je me moque des petits macaques appelés chefs traditions, qui faisaient des incantations (à la présidence de la République). Qu’est-ce qu’ils ont pris et qu’est-ce qu’ils y ont mis ? Disent-ils qu’ils ont remis le trône de gloire ? Ils m’ont cherché, moi le mysticisme, à toutes les positions. J’ai déjà ri, j’ai ri ! Je me suis même enroulé au sol. Ces gens sont bêtes, et tu vois, l’homme à la punk (NGOH NGOH), avec ses gros yeux, attend de recevoir les pouvoirs mystiques (Rires). Ne vois-tu pas comment le machin de gorille-là lui ressemble ? C’est-à-dire que la présidentielle-ci va tout montrer ! Wâh ! Et chacun veut être Président, chacun des membres du gouvernement. L’homme à la punk gonfle la tête, et dans sa tête, c’est à lui que les chefs traditionnels et les différentes délégations sont en train de donner tout ce qu’ils apportent à la présidence. C’est lui le Président, sous haute instruction. Il reçoit en son nom propre et il garde en son nom propre. Quand il prétend allez transmettre au chef de l’État ce qui a été apporté par les différentes délégations, c’est le poison qui sort de sa bouche. Je riais ! Attends que je reprenne ma position. J’ai tellement pris les posters aujourd’hui !

« Je suis là pour me moquer des chefs traditionnels, tous ceux qui ont les crinières, les panthères, etc. Tu as dit tout à l’heure que les coques sont vides. Qu’est-ce que toi tu vois, en regardant ces délégations de chefs traditionnels ? Ce sont les animaux, ce ne sont pas des êtres humains. Personne-là n’est un être humain (sur un total d’environ 223 chefs reçus à date). Tous sont des animaux, et celui qui en tête de liste des animaux, c’est celui qui a la punk (NGOH NGOH) ; c’est lui qui commande. Ne connais-tu pas sa nature martienne ? Bien sûr qu’il y a des animaux qui viennent de Mars, comme les dinosaures. On a dit aux humains que les dinosaures, avec leurs longues têtes, n’existent pas. Personne parmi tous ces chefs n’est humain, comme tu vois là, jamais ! Donc quand chacun d’eux s’exprimait, ce qui était en scène, c’étaient les cafard, les souris, les serpents, etc. Ce sont ces animaux qui sont venus verser chacun sa part. Je suis tombé de rire là où ils dansaient autour du trône de gloire (les chefs du Sud, avec à leur tête Jacques FAME NDONGO, soit 43 chefs environ). C’est là, au niveau de cette danse, qu’est venue l’apogée. J’ai ris jusqu’à !

« La canne de Jacques FAME NDONGO est différente de celle des autres, est-ce qu’il donne le lait ? Tu veux savoir les animaux qui sont représentés sur cette canne. Alors, connais-tu les suricates ? Demande à ton enfant de chercher l’image des suricates ? Il y a également représente sur cette cane, un « tigre ». Connais-tu la qualité de « tigre » qui est noir ? Il s’agit plutôt du jaguar. Tout cela, c’est lui, FAME NDONGO. Il y a aussi les bébés panthères ? Vois-tu les bébés panthères ? Ils ont de longues dents, ce sont des dents acérées, ne les simplifie donc pas, car leurs dents transpercent pour tirer le sang. Chacun de ces chefs traditionnels est venu avec ses animaux, pour les déverser sur le trône qu’ils ont apporté, pour que le père-là (Paul BIYA) s’y asseye et qu’il prenne tous ces animaux. Qui est le roi des animaux ? ».

– Pasteur Caleb : C’est le lion.
– Le Mysticisme raté : Bon, crois-tu que Nnom Ngui (le gorille, mâle dominant et chef de troupe) apporté par les chefs traditionnels, c’est le hasard ? Qui est le roi de la forêt ?
– Pasteur Caleb : Le lion.
– Le Mysticisme raté : Qui est censé s’asseoir sur le trône de « gloire » apporté par les chefs traditionnels ?
– Pasteur Caleb : Le chef de l’État.
– Le Mysticisme raté : Pour eux, ils sont venus réitérer ce qui s’était fait en 2011 (le couronnement du Président Paul BIYA comme Nnom Ngui par les chefs traditionnels de la région du Sud, lors du Comice agropastoral). Ils ont fait savoir à ceux qui ont la mémoire courte que Paul BIYA est le mendiant de la paix. À la fin, on leur a donné la somme que chacun doit donner, pour soutenir la campagne… Bref, ces chefs traditionnels et autres doivent comprendre que ce n’est plus le vieux père-là (Paul BIYA) qui est assis là-bas (sur le siège présidentiel). Connais-tu la personne qui y a pris la place ?
– Pasteur Caleb : C’est Jésus.

– Le Mysticisme raté : Oui, c’est lui qui y siège depuis belle lurette ; ainsi, l’autre de Paul BIYA est comme une marionnette… Je suis le ‘‘Mysticisme raté’’, et je passe le temps à rire, parce que je ne peux plus rien faire, je n’ai plus rien. Mais ceux qui m’appellent vont effectivement croire…
– Pasteur Caleb : Ils vont croire que ce sont eux qui ont fait tout, qu’ils ont protégé le chef de l’État, qu’ils ont fait qu’il soit réélu. Ils veulent tromper les simples, disant qu’ils ont veillé sur le chef de l’État, qu’ils l’ont maintenu au pouvoir. Ces incantations sont ratées, au nom de Jésus. Avec qui es-tu dans ce corps ?

– Le Mysticisme raté : Je me suffis, je suis bien.
– Pasteur Caleb : Avant que tu ne partes, que tu ne sois chassé, dis, qu’est-ce qui t’amusait beaucoup ?

– Le Mysticisme raté : Moi-même je suis bon… Les cauris matérialisés sur le trône apportés au chef de l’état par les chefs traditionnels du Sud, servent à lire l’avenir du Cameroun… Quand on voit qu’on a déjà trop volé, on part se distraire au songo.

Au nom puissant de Jésus, le révérend a stoppé les manœuvres maléfiques attachées à la démarche des chefs traditionnels, en décapitant l’esprit de mysticisme raté, et en le chassant en enfer. Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – L’ÉTERNEL DIEU NOUS PRÉSERVE DES MALADIES

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Nous bénissons le Seigneur, qui a exposé des démons de maladies envoyés contre les fidèles du Tabernacle de la Liberté. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé ces démons, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – LE MINISTRE DES TRANSPORTS SE DÉPENSE EN FAVEUR DES ACCIDENTS

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Nous bénissons Dieu, qui a intercepté des esprits d’accidents invoqués au Cameroun par Jean Ernest MASSENA NGALLE BIBEHE, Ministre des Transports. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé ces démons avides de sang, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – LES TROUBLES, LES SOULÈVEMENTS, LES MEURTRES ET LES BAINS DE SANG NEUTRALISÉS AU NORD-OUEST

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Pendant le culte de ce dimanche, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a invité les fidèles à prier, pour demander à Dieu de protéger la nation camerounaise, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Voici l’extrait de cette prière :

« Voilà, nous allons encore prier Dieu (c’est une autre phase de prière qui commence) pour notre nation, pour l’Afrique notre Continent et pour ce monde. C’est notre mission, que Dieu nous a donnée. Le Tabernacle de la Liberté est l’Église de tous les peuples ! Nous sommes donc là pour intercéder auprès de Dieu pour les peuples du monde. Sans tarder, nous allons encore élever à Dieu ce qui nous préoccupe ces derniers temps. Nous allons surtout LUI demander de pouvoir empêcher à tous les programmes de lucifer et ses agents de s’accomplir dans cette nation. Voici ce qu’ils ont prévu : la séduction, les troubles, les attaques, la destruction et le partage du joyau africain qui est le Cameroun. Ce sont là leurs programmations ! C’est contenu dans le livre intitulé : Devise enférique 2025 (disponible au Tabernacle de la Liberté). Nous allons donc prier Dieu afin que le Cameroun ne puisse être séduit d’aucune manière ; que les troubles ne puissent se produire par aucune manière ; que les attaques ne puissent se produire en aucune manière ; que le Cameroun ne soit pas détruit ! Lève-toi assemblée, pour LUI demander cela. Demandons au Seigneur de protéger entièrement notre nation.

« Nous te prions Seigneur de protéger la nation camerounaise, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Ô Dieu, nous savons que ceux qui sont les ennemis de ce pays, y vivent à l’intérieur. Il s’agit des membres du Gouvernement et assimilés. Ils sont les premiers ennemis de la nation. Car, sans eux, ceux de l’extérieur ne peuvent pénétrer la nation. C’est pourquoi nous te prions Seigneur, que ce qui se peaufine parmi ces membres du gouvernement concernant les projets d’attaque de la nation, de quelque manière que ce soit, nous te prions Seigneur d’intervenir pour t’imposer. Seigneur, nous te prions d’intervenir pour t’interposer. Seigneur, que tes anges soient au contrôle pour empêcher toutes les attaques possibles ! Que tes anges empêchent à cette nation d’être détruite. Ô Dieu, c’est ce que nous te demandons. Nous savons que ces ministres, les hauts fonctionnaires en collaboration avec les occidentaux, sont à l’origine des troubles dans la nation. Que ce soit dans le Nord-Ouest, Sud-Ouest et à l’Extrême-Nord, ils sont les meneurs de troubles. Ils obéissent aux ordres des tyrans du monde. Nous prions Seigneur pour que toutes les attaques préparées contre la nation camerounaise soient exposées ! Que tout cela soit exposé !

« Seigneur, que la destruction prévue soit exposée ! Que la destruction prévue soit exposée ! C’est notre prière Seigneur. Écoute nos prières et expose tous les plans de satan ! Seigneur, nous te prions pour les Hommes en tenue loyaux. Nous savons que Tu as des Hommes loyaux dans cette nation ; nous savons que dans l’armée, il y a des patriotes, nous te prions Seigneur d’exposer tous les traîtres qui sont au milieu d’eux. Nous prions Seigneur d’exposer tous les traîtres qui sont au milieu d’eux. Que ces traîtres soient exposés ! Qu’ils soient exposés ! Ô Dieu, s’il te plait fais-le ! Ô Dieu, s’il te plait fais-le ! Expose ces traîtres ! Expose ces traîtres ! Expose ces traîtres ! Expose ces traîtres ! Qu’ils soient des hommes en tenue ou des civils ! Seigneur, nous prions pour que tous ces traîtres soient exposés ! Seigneur, expose ces traîtres ! Seigneur, expose ces traîtres ! Seigneur, expose ces traîtres ! Seigneur, expose ces traîtres et ne permets pas que leurs plans puissent réussir ! Seigneur, qu’ils ne puissent pas déstabiliser le Cameroun et son armée ou la faire décourager ! Ô Dieu, nous prions vraiment que Tu puisses intervenir. Nous te prions Seigneur d’intervenir ! Nous te prions Seigneur d’intervenir ! Nous te prions Seigneur d’intervenir !

« Merci Seigneur ! Merci Seigneur ! Merci Seigneur ! Merci parce que tu permets que les résultats de l’élection présidentielle soient proclamés dans la paix ; le Chef de l’État, le Président Paul BIYA commence à gouverner dans la paix ! Seigneur, nous te connaissons comme un Dieu Fidèle ! Tu es un Dieu fidèle et Tu n’as jamais manqué à tes promesses. Reçois notre reconnaissance ! Reçois notre louange ! Reçois notre adoration en cet instant ! À Toi toute la gloire ô Grand Dieu, pour ce que Tu fais. Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Béni soit ton Nom ! Béni soit ton Saint Nom ! Béni soit ton Saint Nom ! Loué soit ton Saint Nom Seigneur ! ».

En rapport à cette prière, le Seigneur a saisi les démons chargés de perpétrer les troubles, les soulèvements, les meurtres et les bains de sang dans la région du Nord-Ouest. Au nom puissant de Jésus, le révérend a stoppé ces démons, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – RENVOI AUX ABÎMES DES ESPRITS DE RUINE, DE MORT, DE RELIGION, DE MOI, D’IGNORANCE, DE PRÉCIPITATION, D’AVEUGLEMENT

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Au terme des phases successives de prière ayant permis le brisement des cages et la récupération des esprits des fidèles dispersés et emprisonnés en divers lieux (forêt, eau, mer, collines, fleuves, etc.), le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité les esprits mis en cause et il les a chassés en enfer. Il s’agissait des esprits personnifiant la religion, la rébellion, l’ignorance, la mort, l’aveuglement, la précipitation, la ruine, le moi, la ‘‘Chair et ses désirs’’, la bagarre, l’insatisfaction, le monde, la séduction, les gardiens des traditions, les sirènes, et les esprits familiers. Gloire à Jésus !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – L’HISTOIRE ÉDIFIANTE DE SŒUR KAMENI CARTER : UNE MIRACULÉE DÈS SA CONCEPTION

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Pendant le culte de ce dimanche, le Seigneur a saisi le démon personnifiant feu MOUBITANG Zéphirin, géniteur de sœur Eugénie KAMANA. Parlant dans le corps de celle-ci, MOUBITANG a ressassé l’histoire et a rappelé les déboires par lesquels est passée celle qui fût autrefois sa fille, mais aussi la victime et la captive de ses œuvres de méchanceté, de ses pratiques de sorcellerie. Dans le même temps, MOUBITANG a rappelé en mémoire les attaques par lesquelles sœur KAMENI Carter, fille d’Eugénie, est passée dès de sa conception. Voici, plus explicitement, ce que « monsieur » MOUBITANG a fait savoir de bout en bout, en répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :

« Je pensais que je l’avais détruite. On ne sait pas d’où l’enfant-ci (KAMENI Carter) est sortie, pour se retrouver dans la coque vide-ci (Eugénie KAMANA). C’est pour cela qu’on voulait en finir avec elle (Carter) dans le ventre de sa mère. Quand sa mère est tombée enceinte, on a vu que l’enfant n’était pas notre semence. La mère a commencé à avaler les remèdes (pour avorter), car il fallait éliminer l’enfant directement. Elle a avalé les remèdes, ça n’a pas donné. Comme elle était à Nanga, et que les secousses du mauvais état de la route étaient réputées être en mesure de faire avorter, elle a voyagé de Nanga à Yaoundé, aller-retour, mais rien n’est sorti. Elle est ensuite partie à l’hôpital, le docteur lui a dit que ce n’est pas le genre de grossesse qu’on peut enlever en donnant simplement les remèdes, mais qu’il fallait ouvrir le col de l’utérus. On a ouvert le col, l’enfant a refusé de sortir. Elle est retournée à l’hôpital voir le médecin, le médecin a prescrit les remèdes… Le fœtus était toujours là dans le ventre. Quand la phase là est finie, elle est partie chez le marabout. Curieusement, quand elle arrive là, on met les remèdes, et le marabout commence à lui dire que c’est une fille qu’elle va accoucher.

« Puis elle était partie au marché acheter les écorces traditionnelles. Si je te dis qu’une seule goutte de sang est sortie, je serai en train de mentir. L’enfant a fait douze mois dans le ventre au lieu de neuf), pour rattraper sa croissance qui avait été freinée par les multiples tentatives d’avortement. Quand elle était partie faire l’échographie à 6 mois, le médecin lui avait dit que l’enfant a un retard de trois mois, et qu’elle doit poser ses genoux au sol pour prier, sinon l’enfant va sortir avec des malformations. Vu tout ce qu’elle avait avalé pour avorter, le médecin lui avait conseillé de prier, de crainte que l’enfant ne sorte avec la malformation. C’est là qu’elle avait dit qu’elle implore votre Type (Dieu), et l’enfant est sortie normalement. On n’a même pas eu besoin de faire des massages à l’enfant, comme c’est souvent le cas, lorsqu’un enfant sort par exemple avec une tête longue. L’enfant (Carter) est sortie normalement ».

– Pasteur Caleb : Et la maladie qu’elle a est venue d’où ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : La maladie que l’enfant a, est venue de nous.
– Pasteur Caleb : Comment ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Fille, te souviens-tu de ta tante ?
– Carter : L’esprit parle de la feue petite sœur de ma maman, prénommée Marie Noëlle.
– Pasteur Caleb : Sa feue petite sœur, Marie Noëlle ? Elle a fait quoi ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : C’est elle qu’on a utilisé pour faire notre travail, vu tout ce qu’on avait déjà fait sans succès, pour éliminer l’enfant. Devait-on laisser l’enfant indemne ? Il fallait lui mettre la maladie dans le corps, pour que cette maladie ralentisse au moins le processus du machin… Il fallait mettre quelque chose dans la chair de l’enfant, pour qu’elle ait les regrets et autres, pour qu’elle ne se focalise pas sur votre Type (Jésus-Christ).
– Pasteur Caleb : Vous avez utilisé Marie Noëlle pour faire quel travail ? … Fille, tu dis que Marie Noëlle ne vit plus ?
– Carter : Non pasteur, elle est décédée.
– Pasteur Caleb : Quand ?
– Carter : Je crois que je faisais la classe de 3e en ce moment-là. Je ne sais plus en quelle année exactement.
– Pasteur Caleb : Et savais-tu que c’est elle qui avait été utilisée pour te donner la maladie ?
– Carter : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : Toi démon, comment cela s’est-il passé ? Qu’est-ce qu’elle a fait ? Parle !
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Marie Noëlle savait qu’elle était malade, et c’est à travers la lame qu’elle utilisait, soi- disant pour couper les ongles de l’enfant, qu’elle lui avait transmis la maladie. C’était volontaire, et elle était consciente/
– Pasteur Caleb : Ah ! Voyez-vous la méchanceté ? Ikyiiii ! Metôm !
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Elle a fait le bon travail, mais cela n’a pas donné comme on voulait. On ne sait même pas comment elle a fait pour se retrouver ici. C’est la l’enfant-là qu’on voulait anéantir depuis le ventre, parce que si elle n’existait pas, sa mère ne serait certainement.

– Pasteur Caleb : C’est à cause de ta maladie que vous êtes arrivés ici. Quel âge avais-tu ?
– Carter : J’avais 13 ans.
– Pasteur Caleb : Tu en as combien aujourd’hui ?
– Carter : 23, pasteur.
– Pasteur Caleb : Vous vous rendez compte ? Ils ont décidé d’anéantir l’enfant, et ils ont dit : ‘‘Cela n’a pas réussi dans le ventre. Même comme tu es née, on va seulement t’avoir’’. C’est ainsi que la sorcière blesse, dit qu’elle va couper les ongles à l’enfant, alors que c’était pour lui transmettre la maladie, le VIH.

– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quand sa mère était quitté de Nanga et qu’elle est descendu au village, on avait empoisonné l’enfant quand elle avait deux ans, mais elle n’est pas morte. Quand j’appelle cette enfant du nom de « Sorcellerie », ne comprends-tu pas depuis ? C’est la « sorcellerie » ! Demande à sa mère si elle peut l’envoyer au village. Sa mère pourrait envoyer tous ses enfants au village, sauf celle-ci. On ne peut même te dire les « incantations » (les prières) qu’elle avait faites, quand l’enfant avait commencé la maladie. C’était un 20 mai, elle était sortie pour aller faire la fête. Elle a laissé l’enfant avec la mère, c’est comme cela qu’on va l’empoisonner, à l’âge de deux ans. L’histoire avait commencé de cette manière : elle était sortie pour aller acheter les beignets, avec son enfant au dos. Elle passait, et la sorcière avait dit qu’on a déjà arraché l’enfant. Elle a compris, mais elle fait comme si elle n’a pas entendu. Ce n’était pourtant pas encore arrivé au niveau de l’empoisonnement. C’est quand elle était partie au défilé, qu’on était resté empoisonner l’enfant. Ce jour, en quittant la fête, elle était partie dormir chez son oncle, et quand elle est rentrée à la maison, sa mère a commencé le bavardage : « Hoooh ! Tu sors, tu ne rentres pas, l’enfant et moi n’avons pas pu dormir dans la nuit ! ».

Comme elle avait gardé les galettes à l’enfant, elle a appelé l’enfant à plusieurs reprises, de venir vers elle, mais l’enfant restait entre les mains de sa grand-mère. Elle est venue arracher l’enfant, l’enfant chauffait, la température était à 41. Elle dit à la grand-mère de l’enfant qu’il y a quelque chose qui ne va pas, la mère répond que : « C’est la jaunisse. Comme elle vomit, cherche les herbes, tu lui donnes ». Elle réplique que ce n’est pas sa jaunisse. Elle a dit à la grand-mère (donc sa mère) : « Parle à tes gens ! Si toi-même tu es dedans… L’enfant-ci n’est pas yambassa, elle est bamiléké. Si un cheveu de sa tête bouge, le bamiléké va rafler ce village, et les arbres vont pousser dans les maisons. Même la mouche qui a entendu, la mouche là va mourir ». C’est ce qu’elle avait dit à sa mère, puis elle a porté l’enfant et elle a pris la direction de l’hôpital. Nous sommes arrivés à l’hôpital avec elle. On ne sait même pas d’où… L’histoire-là (Jésus-Christ) a envoyé… Je ne veux même pas appeler son nom. Le médecin avait tout fait, rien ! Pendant que ce temps, elle pleurait du fait que l’enfant s’était évanouie. Elle voulait s’adosser au mur, mais au lieu du mur, c’était sur une porte, et elle s’est retrouvée dedans, dans une chambre, avec l’enfant. Une femme était assise à même le sol, à l’hôpital, et lui a dit « Wèh mâ’a ! Quand tu es arrivée depuis, je t’ai vue, je t’attendais. On a empoisonné ton enfant, mais ne t’inquiète pas, hein ? Ton enfant ne va pas mourir. Vois-tu la bouteille qui est au fond de la salle ? (C’était une bouteille contenant les écorces, avec un gobelet posé dessus). Prends cette bouteille et vient me la donner.

Elle est allée prendre la bouteille, tandis que la femme avait déjà porté l’enfant. Elle a donné la bouteille à la femme, qui a versé le liquide dans le gobelet et lui a dit : « Uhn ! Porte ton enfant, donne-lui toi-même ». Comme l’enfant buvait constamment de l’eau, l’enfant croyait qu’il s’agissait de l’eau, mais avait aussitôt repoussé, en se rendant compte qu’il ne s’agissait pas de l’eau. Mais l’enfant a finalement bu, et quelques minutes après, la température a baissé. L’enfant a dormi de 10 à 15 heures. De temps en temps, elle partait regarder et toucher le cœur, pour se rassurer que le cœur de l’enfant battait encore. La femme lui a dit : « Ne crains riens ».
– Pasteur Caleb : La mère-là était-elle infirmière dans cet hôpital ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quel hôpital ? La femme n’était pas une infirmière, c’était le machin que votre Type (Jésus-Christ) avait envoyé. La chambre dans laquelle elle s’était retrouvée avec cette femme et l’enfant, était-ce même l’hôpital ? (Ce n’était pas l’hôpital). On te raconte qu’elle a vu le mur, a voulu s’adosser et s’est retrouvée dans une pièce dont on ne connaît pas l’origine. Quand le médecin est venu, puisque l’enfant allait déjà mieux, le médecin lui a dit : « Vous pouvez rentrer. Tous les matins, vous viendrez prendre les injections ». Pourtant, le médecin les avait déjà hospitalisés.
– Pasteur Caleb : Qu’est-ce que tu racontes ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : c’est la « sorcellerie », c’est sa « sorcellerie » que je suis en train de te raconter. On a fait tout…

– Pasteur Caleb : La femme qui a donné la potion à boire, c’était à l’hôpital, non ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Elle n’était même pas de l’hôpital. La salle-là, ce n’était pas la salle de l’hôpital. C’est votre Père (Dieu), c’est votre Type-là… était-ce le remède… Si c’était une infirmière ordinaire, comment aurait-elle fait pour savoir qu’il y aurait un cas d’empoisonnement ce jour-là, au point d’apprêter le remède ?
– Pasteur Caleb : C’était donc une vision…
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Est-ce que la femme-là était de l’hôpital et attendait qu’on va amener un cas d’empoisonnement ? Et cette femme était assise à même le sol, comme je le suis actuellement. Elle n’a pas revu la femme après. Connaît-elle même ne serait-ce que le nom de cette femme ? Cela a été ainsi pendant trois jours successifs, pendant lesquels elle partait à l’hôpital, et on lui donnait le remède. Le troisième jour, que finissait le traitement, elle n’a pas demandé le nom de la femme. Aujourd’hui, elle ne peut pas t’expliquer quel teint avait cette femme. Quand le traitement était fini, n’ayant pas pu accomplir notre mission mystiquement, c’est là que nous sommes venus physiquement à la maison, à travers la coépouse de sa mère, qui avait déclaré que l’enfant a quatre yeux (c’est-à-dire que l’enfant serait sorcière), que ce n’est pas un enfant. Plus tard, cette coépouse était revenue, pour lui dire : « Si tu aimes ton enfant-ci, déménage avec elle. Ne dis à personne. Si tu n’as pas l’argent, je te donne l’argent. Fuis le village ! ». Entre temps, quand elle s’était dit en elle-même : « Celle-ci, dont tout le village sait qu’elle est sorcière, quand elle me dit déjà de fuir avec l’enfant, c’est certainement, soit parce qu’ils ont déjà tué mon enfant, elle veut donc que j’entre dans la voiture et que l’enfant aille mourir par accident… Si mon enfant doit mourir, elle va mourir ici, mais ce que fera son père dans ce village, ce sera du venez voir ! ». Elle n’avait parlé de tout cela à personne, ni même à sa mère.

Trois jours après, la sorcière est venu voir sa mère et lui a dit : « J’ai dit quelque chose à ta fille, mais comme c’est une enfant, elle n’a rien compris. Dis à ta fille de fuir le village avec son enfant » (…). Elle était couchée, et dès qu’elle a entendue cela, elle est sortie et elle a dit à la sorcière : « Héhéhé ! Stop ! Ne parle pas des choses de mon enfant. Si cela me concerne, parle, mais si c’est mon enfant, c’est moi-même qui en parle ! Voilà ta coépouse, si toi-même tu es dedans…. Vous allez seulement déranger mon enfant que vous la dérangez maintenant. Mais si un seul cheveu seulement saute ! Ce que le Bamiléké… Mon enfant n’est pas yambassa, c’est une bamiléké. Si quelque chose lui arrive, son père va raser le village-ci, les arbres vont pousser dans les maisons, même la mouche… ». La sorcière est partie, puis la fille a rechuté, sa mère lui a dit « Va voir le mari de la sorcière, il faut qu’elle verse… ». En fait, il y a un rite chez eux, qui dit qu’il faut verser l’eau sur l’enfant pour que la température baisse. Elle a regardé sa mère, puis est allée et a trouvé la sorcière assise sur la natte, et le sorcier sur la chaise. Elle lui a dit : « Papa, maman m’a envoyé pour te dire de verser l’eau sur l’enfant, parce que ça ne va pas ». La sorcière s’était aussitôt exclamé : « Hum ! », et le sorcier n’a rien dit. Elle a passé au moins quinze minutes devant eux, personne ne parlait. Après le sorcier lui a répondu : « J’ai compris. Pars, j’arrive». Elle est rentrée. Quelques minutes après, le sorcier est venu avec un petit sac, dans lesquels il y avait les écorces, la queue du serpent boa, un morceau de tissu blanc vierge. Il a déposé cela au sol, il a pris ses écorces, les a versés et a dit : « déshabille l’enfant, tu enlèves les chaussures, tu poses l’enfant sur le tissu blanc.

Puis il s’est mis à lancer les bambous en les posant sur la tête en disant : « Si c’est telle chose qui dérange, que cela nous montre, en tombant pile ou face… ». C’est ainsi que le sorcier lançait et posait les bambous. Et, il a laissé les maladies dont il demandait la nature, et il s’est mis à dire que si c’est le père de l’enfant qui dérange l’enfant, les bambous doivent être lancés et tomber sur le côté face. Il a lancé les bambous une première fois, c’est tombé côté pile ; puis une seconde fois. La troisième fois, les bambous sont tombés du côté face. Et il a dit : « Voilà ! C’est le père d l’enfant qui dérange l’enfant », puisqu’elle s’était séparée avec le père de l’enfant, le bamiléké. Le sorcier a ajouté : « Pour qu’on fasse le traitement maintenant, il faut deux poules, à savoir une mère poule et le poussin ». En fait, la mère poule c’était la mère (Eugénie), le poussin c’était la fille (Carter). On devait amener la poule et le poussin en bas du baobab, pour faire le rite. Quand le sorcier est partie, elle (Eugénie) a dit à sa mère : « Maman, depuis que je suis née, je n’ai jamais entendu parler du genre de maladie dont on dit que c’est le père de l’enfant qui dérange l’enfant. Aussi, je n’ai jamais entendu le genre de rite-là. Donc, si tu cherches ta poule et ton poussin, sache aussi que c’est toi qui va aller faire le rite là, pas moi ni mon enfant ». Sa mère lui a répliqué : « Tu es toujours comme ça ! Tu es toujours que, quand on te dit de faire quelque chose… ».

Entre temps, l’enfant chauffait. Puisqu’elle ne voulait pas faire le rite, la grand-mère a décidé alors qu’elle porte l’enfant et qu’elle l’amène à l’hôpital. Dès qu’elles ont porté l’enfant et qu’elles ont quitté le cadre du village, la maladie est finie. Elles sont parties se balader à Ombessa, l’enfant était bien. Le soir arrivé, ils sont rentrés au village, l’enfant se portait bien et elle a bien dormi. Le matin, la sorcière s’est présentée et leur a dit : « On a cherché le remède de l’enfant. Vous étiez où ? ». Elle a répondu de sa bouche à la sorcière : « On était à l’hôpital avec l’enfant. Ça va mieux ». La sorcière est entrée dans la chambre, là où dormait l’enfant, dès qu’elle est en sortie, c’étaient les cris. Elle a appelé l’enfant : « Bébé viens ! Bébé viens ! ». Mais l’enfant n’est pas sortie. Quand elle est allée dans la chambre, c’était la catastrophe ! Elle (Eugénie) a dit à sa mère que trop c’est trop ! Après cela, la sorcière est tombée, en manifestant les mêmes symptômes que l’enfant avait. C’est ainsi que la sorcière a fait trois jours à l’hôpital (…).

Pour couper court, quand l’enfant avait encore rechuté, elle a pris son enfant et elle a pris la route, pieds nus, sans savoir où elle allait. Son cousin la suivait derrière, pour lui donner les babouches. C’est ainsi qu’elle s’est d’abord retrouvée dans le village de sa mère, où elles ont passé trois mois. Arrivés là-bas, l’enfant a guéri. C’est là-bas, dans le village de sa mère, qu’on lui a apporté ses habits et ceux de son enfant, qu’elles avaient laissé de l’autre côté. C’est comme cela qu’elles sont venues ici à Yaoundé. Depuis ce jour, elle n’a plus jamais mis pied avec celle-ci au village. Que va-t-elle aller y faire ?

– Pasteur Caleb : Donc, tu sors de loin, hein ?
– Carter : Oui pasteur.
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quand elle était arrivée ici, le ventre était comme celui d’une femme enceinte. C’était à cause du poison-là, qui avait mis long dans son corps. Un tel poison laisse toujours les séquelles… J’ai dit que je suis le père de celle-ci (Eugénie). Je suis MOUBITANG NJOLO Zépherin, j’étais un « bon » (grand) sorcier. Comme Nimrod, j’étais un bon chasseur.
– Carter : Fille, tu dois faire comme Job, ne pas maudis pas Dieu (…). Rendons grâce à Dieu. Oh Seigneur, tu es merveilleux pour ce que tu as fait. À toi l’a gloire, l’honneur, la puissance, la force, oh grand Dieu ! Alléluia ! Béni soit ton nom, Seigneur. Amen !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES DE LA DIASPORA SORTIS DE LA CAPTIVITÉ DES FORÊTS, DES EAUX (FLEUVES, MERS, ETC.), DES CAGES…

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Voici la prière que le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a conduite en ce dimanche, afin de briser les cages, les animaux, les sirènes, les esprits familiers et les gardiens des traditions, qui œuvraient à maintenir l’esprit de chaque fidèle de la diaspora dans la captivité :

« On se lève maintenant. La prière est concentrée en faveur des fidèles de la diaspora… Où que vos esprits aient été maintenus captifs dans vos pays d’origine, alors que vous êtes vous-mêmes en Occident, que ce soit dans les forêts, les fleuves, les mers, allez dehors ! Sortez de là au nom de Jésus ! Vos esprits reviennent en vous-mêmes, quels que soient le nombre de multiplications qu’on a fait de vos esprits aux fins de les disperser ! Esprit de Dieu, souffle de partout, rassemble ces esprits et remets-les dans ces coques vides. Merci Esprit saint ! Les amis, vous devez comprendre que vous n’avez pas droit au repos, quand vous avez reçu l’attouchement de Dieu. Quand il vous a par exemple touché hier, il faudrait rester tout près de lui à tout moment. Il vous faut un attouchement de la part de Dieu. Tout le monde levez les mains maintenant, pour vous consacrer au Seigneur. Consacre ton corps, ton âme et ton esprit au Seigneur. Consacre-lui ton être tout entier… Dis : ‘‘Seigneur, prends mon corps, prends mon âme, prends mon être tout entier’’. Déposez vos êtres à l’autel de Dieu ». Amen !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – EUGÉNIE KAMANA ET LE RESTE DES FIDÈLES SORTENT DE LA CAPTIVITÉ LONGTEMPS IMPOSÉE PAR LES ESPRITS FAMILIERS, LES GARDIENS DES TRADITIONS ET LES SIRÈNES (Part 2/2)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Dans la continuité de son action de brisement des cages, des bouteilles, des animaux et autres entités maléfiques embrigadant les esprits des fidèles, le Seigneur a également saisi, en dehors des esprits familiers et autres, les démons personnifiant les gardiens des traditions, au nombre desquels figurait l’esprit personnifiant la religion, la religion décrite à juste titre comme « la gardienne des gardiennes ». Des interpellations ont suivi, et il en est ressorti des éclaircissements édifiants

Par exemple, certains couples ne peuvent pas faire des enfants, engendrer ou procréer, parce que l’un parent, sorcier et méchant, s’est interposé, par ses multiplications maléfiques, entre les conjoints. C’était le cas de frère AMENE Jean Bienvenue et de son épouse EDINGA Christelle Ninive. Il a été précisé que la mère de frère AMENE était sa femme spirituelle, et que de ce fait, lorsque sa femme est en période d’ovulation, il souffre de dysfonctionnement érectile. Il est également ressorti que le fils de frère AMENE, âgé de 21 ans et issu de son mariage avec première épouse et désormais défunte, est un casse-tête qui s’impose dans la maison, au point qu’il prend la place de parent, et que les parents prennent la place d’enfants. Les démons personnifiant les gardiens des traditions ont donné ce conseil à frère AMENE : « Quand tu vas commencer à être vrai, tu vas constater qu’elle (parlant de sa maman, sa femme spirituelle) a plié bagage, qu’elle est partie, et que ta maison a changé ».

– Les esprits familiers et autres : C’est elle (la mère d’AMENE) qui lui donne les directives, car quand il a quelque chose, au lieu de se confier à sa soi-disant côte, elle se confie plutôt à sa mère (…).
– Les esprits familiers des forêts du Mbam : NGOA, sais-tu que celui-ci (papa Prospère WAGNACK) est perdu dans la forêt ? Tape sur sa tête.
– Les Gardiens des traditions : Il est à la fois dans la forêt et dans l’eau. Il y a au moins une quinzaine de sirènes debout, devant sa cage. Et c’est pour garder son esprit en lieu sûr, pour qu’il n’en sorte pas. Nous sommes dans sa maison, on se met à l’aise dans sa maison. C’est seulement une partie de son esprit qui vient de sortir de la cage ; le reste est encore dedans, dans la cage. Sortir de la cage est une question de cœur (une question d’ouverture du cœur à Jésus). Il y a quelqu’un qui a fui, où est-il ? Tu fais quoi dehors, là où tu es (s’adressant à papa WAGNACK) ? (…). Comment allons-nous faire aujourd’hui ? (…). L’exorciste est mort, et c’est son esprit qui est dans ta maison (s’adressant toujours à papa WAGNACK). Il dort sur ton lit, il est entré dans ta côte (l’épouse). La cote ne vient plus à l’église, parce qu’elle suit les désirs de la chair… Il doit demeurer esclave (parlant toujours de papa WAGNACK)… S’il décide de s’en aller, on va le maintenir dan l’esclavage, jusqu’à ce qu’il descende en enfer. Empêcher au simple d’être connecté à son Créateur et de jouir et la vraie vie, c’est là notre objectif
– Les esprits familiers et autres : NGOA, vois-tu, quand les esprits des humains sont dans les cages, c’est parce que nous n’arrivons pas à travailler avec. Pour que les esprits en question ne fassent non plus le travail de votre Type (Jésus-Christ), on les met dans les cages, et les humains restent avec des coques qui se baladent et font des dégâts là-bas dehors. Alors on utilise cette coque comme on veut, les démons, les animaux entrent dans ces coques et font ce qu’ils veulent.
– Les Gardiens des traditions : Le père-ci (papa WAGNACK) doit prendre sa place, parce que c’est lui qui est madame dans la maison, exactement comme ABOYA dont on parlait…
La belle famille est assise dans la maison de la mère-ci (maman TCHUENTE Élise), et elle-même est dans la forêt de l’Ouest. Madame, quand tu as fait le deuil de ton mari, quel est le premier animal que vous avez égorgez le jour-là ? Rappelle-toi bien, au village. Tu connais la nourriture des gens de l’Ouest, n’est-ce pas ? Tu connais ce qu’ils aiment manger, je parle de la viande qu’on met souvent dans le kondrè. De quelle viande s’agit-il ? NGOA, son esprit est dans la chèvre, as-tu compris ? Comprends-tu ce qu’on est en train de dire ?

– Les esprits familiers et autres : Elle n’est jamais revenue (parlant de maman Élise), depuis qu’elle est allée enterrer son mari. Elle a accompagné son mari – dans la tombe -.
– Les Gardiens des traditions : Ne sais-tu pas qu’il y des femmes dont les hommes (les maris) sont morts, elles n’ont jamais allées accompagner la motte de terre dans la tombe ? Il a suffi que tu prennes la route de l’enterrement en tant que veuve, pour qu’on récupère ton esprit. Le comprends-tu ? C’est là qu’on a pris ton esprit. Où est ton fils aîné ? On a besoin de lui (…)
– Pasteur Caleb : On parle d’André.
– Les Gardiens des traditions : Tu es tellement naïve, quand on parle de ton fils aîné, sache qu’on parle de celui qui élu dans les choses de votre Type (Jésus-Christ). On ne parle pas des choses de la chair. Voici ton aîné. Tout ton esprit n’est pas encore là/
– Pasteur Caleb : Voici Jacob, Ésaü sert à quoi ? Il est occupé par les choses profanes, dans les choses de cette vie.
– Les Gardiens des traditions : Tu sais ce que Jacob avait fait, n’est-ce pas (s’adressant au frère André) ? C’est ce que tu es en train de faire. Quand Jacob avait vu son frère, avec quoi était-il venu ? Et qu’est-ce que son frère a dit ? Il est venu avec des troupeaux, et son frère Ésaü lui dit qu’il est dans l’abondance. Transforme-toi donc, mire-toi donc dans cet exemple.
– Pasteur Caleb : Comprends que tu n’es pas Dieu (s’adressant à maman Élise), et que tu n’es pas dans le secret de ses programmations. Tu es dans le regret, à cause de l’autre fils. Tu n’es pas Dieu, laisse Dieu faire comme il a programmé, et toi, dis seulement « Ainsi soit-il ». Le comprends-tu ?
– Maman TCHUENTE Élise : Oui papa.
– Pasteur Caleb : Je sais que tu ne fais pas confiance à Dieu. Je suis en train de vous enseigner de ne pas regarder ce qui frappe aux yeux.
– Maman TCHUENTE Élise : Je n’ai pas tellement le cœur en l’aîné, je l’ai laissé entre les mains du Seigneur.
– Pasteur Caleb : Si tu l’as laissé entre les mains du Seigneur, ce n’est pas parce que tu fais confiance au Seigneur, c’est par le découragement que tu l’as fait. Et comme on te révèle maintenant qu’il n’est pas le choix de Dieu, cela t’abat davantage. C’est pour cela que je veux te remonter, as-tu compris ?
– Maman TCHUENTE Élise : J’ai compris papa.

– Les Gardiens des traditions : NGOA, d’où sortait le père de la fille à qui tu es en train d’imposer les mains (parlant de sœur Viviane MOUKOUDI) ? Appelle-moi ta mère. Madame, le père de l’enfant-ci sortait d’où ? Il venait de quel village ?
– Maman Eugénie : De Nkongsamba.
– Les Gardiens des traditions : L’esprit de l’enfant-ci (Viviane) se trouve au moins dans quatre endroits différents. Nous, les gardiens, on s’est rassuré de mettre la plus grande partie de son esprit dans les eaux, dans le Wouri. C’est là qu’on a mis la première partie, on a mis la deuxième partie là où sa mère vient de prononcer le nom, dans les forêts de Nkongsamba. La troisième partie qu’on a prise à Nkongsamba, on a porté et on a amené à l’Ouest Cameroun tu. Madame, connais-tu l’Ouest Cameroun ? On a amené une partie de son esprit là-bas. Et maintenant, en rentrant de l’Ouest, on s’est rassuré de jeter le reste de son esprit, qui était dans un tout petit flacon. On l’a jeté en traversant la Sanaga. Donc, Wouri, Sanaga, Ouest, Nkongsamba, voilà les différents endroits où l’esprit de l’enfant-là se trouve. Elle gonfle (prend du poids) parce que son corps est rempli d’eau. L’enfant-ci avait son esprit, mais on s’est rassuré de tout vider, de remplir la coque d’eau. Voilà notre travail, elle-même le sait.

– Pasteur Caleb : Le physique trompe, elle croit qu’elle est d’embonpoint.
– Les Gardiens des traditions : Ce que tes enfants doivent comprendre, c’est que la solution doit être désirée par la personne même, pendant qu’elle est en train de céder son cœur à votre Type (Jésus-Christ), comme vous l’avez chanté il y a un moment. Ainsi, on n’a pas besoin d’aller dans les profondeurs des eaux, puisque votre Type lui-même a vu le vouloir de la personne et il délègue aussitôt les « oiseaux » (les anges), qui vont prendre la personne (la libérer de la cage, de la captivité)…NGOA vois-tu la mère-ci (maman AYANGMA, mère de sœur Reine ATSENA) ? Tout son esprit est logé dans le fleuve qui est traversé quand on va chez eux, la Sanaga. Tout son esprit y est. Quant-à celui-ci (frère MELI, le menuisier), son esprit est à l’Ouest, c’est dans une forêt, départagé en deux. Tu sais que même si le prunier est à Ngog-Mapubi, l’écureuil va voyager pour aller prendre la prune. C’est comme cela qu’est son esprit ; son esprit se balade dans deux écureuils différents. L’esprit de celui qui est au Sénégal (frère Bertrand TCHANCHE) se balade à l’Ouest Cameroun.

Après tout ce qui vient d’être dit, le révérend a à nouveau invité les fidèles à prier, afin briser toutes les cages, toutes les bouteilles et les entités les maintenant dans la captivité. Merci Seigneur Jésus ! Merci pour ta délivrance !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – EUGÉNIE KAMANA ET LE RESTE DES FIDÈLES SORTENT DE LA CAPTIVITÉ LONGTEMPS IMPOSÉE PAR LES ESPRITS FAMILIERS, LES GARDIENS DES TRADITIONS ET LES SIRÈNES (Part 1/2)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Saisis dans le corps d’une jeune dame et s’exprimant d’un ton révolté, les esprits familiers se sont adressés au révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, et ils ont expliqué de quelle manière ils

« NGOA, méfie-toi. Nous sommes les esprits familiers, on a vu la petite lumière là depuis, avant même que sa mère ne la conçoive (parlant de sœur Eugénie KAMANA). Cette lumière, c’est son étoile. Nous sommes les esprits familiers de la femme dont nous possédons le corps, nous sommes mélangés avec les esprits familiers de plusieurs fidèles de ta maison. Pourquoi nous fais-tu cela ? On a passé… À cause d’elle et du gourdin que tu nous as dosé hier, on a passé la nuit dans tous les états. On était dans tous nos états, tu sais qu’avant que ce jour n’arrive, on était au courant qu’il va va arriver, et c’est ce qu’on ne voulait pas. C’est pour cela qu’on a délégué sa mère, car quand elle est venue, on l’a accompagnée. Sa mère n’est pas notre agent, mais nous nous sommes accrochés sur elle. Quand nous sommes arrivés, elle (Eugénie) nous a bloqués dehors, en sorte qu’on ne pouvait pas entrer avec sa mère dans la maison. On est donc resté dehors, on errait. C’est le gourdin que tu as dosé hier qui nous amène. Elle n’était même pas disponible, et elle murmurait. Quand sa mère a appelé (pour lui dire qu’elle est en train de venir), elle a fini d’assainir sa maison, d’envoyer le feu, disant que rien n’entre ici.

« On est venu pour te dire de la laisser la tranquille, ce n’est pas ton enfant. On a mis son esprit en cage à plusieurs endroits. La partie qui est dans la forêt, c’est son père même qui l’a fait, comme il était chasseur, comme Nimrod. Son père a placé le genre de piège qui sert à attraper les animaux en brousse. Quand elle est partie chercher les prunes comme les autres, les autres personnes sont passées. Mais dès qu’elle est arrivée, le piège a pris son pied, en sorte que la tête était en bas et les pieds en l’air. C’est comme cela que son esprit est resté accroché là-bas, et on a encore mis la cage tout autour d’elle. Elle est accrochée là-bas depuis, cela s’est passé quand elle pouvait avoir 8 ans, elle en a 46 aujourd’hui. Les animaux l’entourent, les oiseaux sont en haut, puis viennent les gorilles, les panthères et autres, en ce qui concerne cette partie de son esprit, que son père a mise en cage là-bas. L’autre partie de son esprit, qui est restée en elle, a été prise et mise en cage quand son père était « rentré » chez lui, en enfer. Où son père devait-il aller, si n’est en enfer ? À quel lieu était destiné son père, si ce n’est en enfer ? Puisqu’il était chasseur comme Nimrod (tueur d’hommes), devait-il la laisser ? (…) Sa fille (Eugénie) comptait parmi ses gibiers.

« On a vu la petite lumière et il fallait l’attraper, pour que ce jour n’arrive jamais. Quand son père était entré en enfer, on a commencé à manipuler sa vieille mère. Quand elle était arrivée ici, elle t’avait dit que son nom est écrit dans liste de ceux qui doivent mourir, car c’est ce qu’on avait dit à sa veuve de mère. Alors sa mère l’avait amenée chez le marabout pour laver la malchance. C’est ainsi que le marabout a coupé une petite portion de son esprit, l’a mise dans la bouteille et est allé la mettre dans l’eau, et la gardienne de cette partie, c’est la sirène. Le marabout avait ensuite dit à sa mère d’aller la laver avec la poule blanche, pour enlever les mauvaises paroles qu’elle avait prononcées contre elle, et ouvrir ses portes. Il avait ajouté qu’il fallait aller jeter la poule en brousse, là où la poule ne peut plus retrouver le chemin retour. C’est ainsi que sa mère est allée jeter la partie restante de son esprit en brousse, à travers la poule blanche ; ainsi, elle erre dans la forêt et elle n’arrive pas à en sortir. Demande-lui comment sont ses rêves, car elle se retrouve toujours en forêt. Parfois, dans ses rêves, elle va chercher le bois en forêt avec d’autres personnes. Les autres personnes qui sont avec elle arrivent à en sortir, mais elle, elle y reste. C’est le reste de son esprit que la mère a mis dans la poule, c’est d’ailleurs pour cela que cette fille (Eugénie) a le cerceau de la poule. Son cerveau est petit, en sorte que si tu veux lui dire quelque chose, parle-lui un peu et terre à terre, sinon elle ne se retrouve plus.

« Si tu veux lui dire quelque chose, parle-lui un peu et ne bavarde plus beaucoup, sinon elle va se perdre. Cela fait qu’elle oublie trop. Son père était un Nimrod, un grand chasseur, qui pouvait se mesurer à lui au village ? Elle-même, elle a grandi au village. Puisque son père était chasseur, elle n’a consommé les trucs de feuilles, les légumes ; elle n’a pas grandi en consommant les légumes, mais le gibier, tous les jours. Quand on mettait les feuilles de kpem dans la marmite qu’on en préparait, c’est simplement parce que son père voulait en manger. Quand les autres sont venus à son secours, on a détaché uniquement sa chair, en sorte que la coque est partie, mais elle-même, mais son esprit est resté attaché dans le piège. Et ce piège ne pouvait plus attraper autre chose, puisqu’il avait déjà attrapé son gibier et était de ce fait occupé… NGOA, celui au sujet duquel tu me poses la question (papa MOUNGANG Jean Benoît), erre dans la forêt, il y a été balancé par ses esprits familiers. Tu crois que qui sont ceux qui balancent les esprits des gens dans les forêts et les cages, si ce sont les esprits familiers ? ».

« Prenant la parole à leur tour, les esprits personnifiant la chair et ses désirs, ou les désirs de la chair, ont affirmé ce qui suit : « NGOA, vois-tu tes machins-ci (parlant péjorativement des fidèles) ? Ils sont chacun sous votre couverture, mais quand la chair lâche un peu, chacun se voit vraiment là où il est, dans son état réel. Mais après, nous, les ‘‘Désirs de la chair’’, on vient et on leur dit que ce n’était qu’un rêve. Ainsi, on leur montre un chemin contraire, comme on en a fait l’illustration avec les babouches. Celle-ci, en qui nous parlons (Eugénie) a eu à ouvrir son cœur à votre Type, d’autres personnes ici l’ont également fait. De nature, elle ne bavarde pas souvent trop. Quand elle le fait, ce sont les animaux qui prennent les devants, et nous, les désirs de la chair, tu nous verras dans le ‘‘fouka-fouka’’ (les bruits, les agitations, le tintamarre). Les animaux en question sont venus avec nous, mais ils ont d’abord fui, parce que le lieu-ci chauffait. Quand tu te verras faire un rêve, le même rêve vient, après cela revient, c’est le Type d’en haut (Dieu) qui te montre. Mais la chair prend le dessus. Donc, si chacun ici prend le dessus sur la chair, puisqu’ils sont des coques vides, si chacun s’ouvre un peu… Je ne peux pas parler d’entrer dans la conscience, puisqu’ils sont des coques vides. Si déjà chacun peut un peu prendre le dessus sur sa chair, il va voir.

« Beaucoup ici se considèrent comme des étrangers, comme étant en prison dans cette maison (le Tabernacle de la Liberté). Ainsi, ils estiment que c’est stricte ici, qu’on leur prive de liberté, de bonheur. Or comme ils viennent d’ouvrir un peu leur cœur à votre Type (Dieu), juste un peu, beaucoup de gardiens (les gardiens maléfiques, tels que les animaux, les panthères, les gorilles, les sirènes, etc.) ont déjà été dégagés, je parle des gardiens des cages dans lesquelles leurs esprits sont enfermés. Mais, maintenant, ce qu’ils doivent faire… Ce sont eux-mêmes qui doivent s’ouvrir un peu, pour sortir, pour se dégager des cages, des bouteilles, parce là il n’y a plus les gardiens, donc la sortie est facile. NGOA, qu’ils ouvrent leurs bouches et qu’ils prirent pour se dégager ! NGOA, qu’ils ouvrent leurs bouches ! Appelez votre Type (Jésus), appelez votre Type (Jésus) ! Appelez votre Type (Jésus) ! NGOA, ceux qui ont honte, qui ne vont pas s’ouvrir un peu, vont rester dans les cages ».

En encourageant les fidèles à prier et à se briser les cages de leur captivité, le révérend les a encouragés en ces termes : « Quand les apôtres ont demandé à Jésus de leur augmenter la foi, il leur a dit, que, si vous avez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à ce sycomore : déracine-toi, et plante-toi dans la mer ; et il vous obéirait (Luc 17 : 6). La foi n’a va pas besoin d’être grande, il faut seulement s’ouvrir au Seigneur. Il faut juste un peu de sincérité. Ouvrez vos cœurs au Seigneur, ouvrez vos cœurs ! Priez ! Priez ! Sortez de cette forêt ! Sortez, au nom de Jésus ! ».

Entre temps, le Seigneur a saisi le démon personnifiant le défunt géniteur d’Eugénie KAMANA. S’exprimant dans le corps de celle-ci, il a déclaré ce qui suit :

– Zéphirin MOUBITANG : NGOA, tu fais quoi ? NGOA, Okalag (méfie-toi) ! Je suis son papa Moubitang ANJOLO Zéphirin, le lion. Crois-tu que tu peux entrer chez moi, prendre ce qui m’appartient ? Je te pose la question !
– Pasteur Caleb : Est-ce toi le Dieu Créateur, hein ? Parle non ! Qu’est-ce qui t’appartient ? Elle n’est pas à toi.
– Zéphirin MOUBITANG : Elle est à moi ! Ça ne peut jamais arriver, qu’elle ne soit plus à moi.
– Pasteur Caleb : Je te perce l’œil !
– Zéphirin MOUBITANG : Je ne me suis pas encore fâché ! Je te dis que tu ne peux pas entrer chez moi, et tu prends ce qui m’appartient ! Non ! Tu n’es pas encore né ! Tu n’es même pas encore né ! C’est moi qui suis le propriétaire, tu sors de nulle part, tu viens entrer dans ma maison pour prendre ce qui m’appartient. Attends, tu es né quand ?
– Pasteur Caleb : Tu es avec qui ?
– Zéphirin MOUBITANG : Dois-je être accompagné ? Je suis le seul lion dans la maison.
– Pasteur Caleb : Il y a un seul Lion dans toute cette création, c’est le Lion de la tribu de Juda (Jésus-Christ).

Sur ces paroles, le révérend a décapité le démon personnifiant feu MOUBITANG, puis il l’a chassé en enfer. Immédiatement, les sirènes ont été exposées par le Seigneur et se sont exprimés en ces termes : « Wèh !!! NGOA, détache nous d’abord. Nous sommes les sirènes, versez un peu d’eau ici, on a besoin de l’eau, car c’est dans l’eau que nous sommes bien. Non ! Non ! On n’a pas besoin de ta part d’eau ! ». Le Seigneur a également exposé les démons personnifiant la séduction, l’insatisfaction, le monde, le moi. Ces démons ont continué à interpeller les fidèles, pendant que le révérend leur imposait les mains.